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Invité

Marie Sue


« Folie, sottise et orgueil croissent sur le même arbre. » Proverbe Espagnol


Informations



Prénoms : Marie
Nom : Sue
Age : 20 + 150 ans
Clan : Shil
Groupe : Vampire
Métier : Inventeur de génie ~
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Situation familiale : Tous morts
Familier : Cyanure, une mignonne petite grenouille de dard


Pseudo : Bloupi / Exuperance
Comment avez vous connu le forum ? C'est déjà mon troisième compte
Avez vous signé le règlement ? Oui
Un dernier mot ? Kaboum !



Physique

Marie est grande. Très grande. Entre ses longues jambes, son petit buste, ses tenues et ses talons, Marie donne l'impression d'être montée sur des échasses tant ses jambes s'étirent dans le champ de vision des autres. Pieds au sol, elle mesure un peu plus d'un mètre quatre-vingt – quand je vous disais qu'elle était grande ! - avec ses talons elle gagne au moins dix centimètres. C'est là, la première chose que vous devriez remarquer. Elle paraît grande de loin, elle est immense de près. Lorsqu'elle se rapprochera, j'ignore ce que vous verrez en premier. Ses cheveux en batailles aux nattes faiblement défaites ? Ses hanches marquées ? Sa poitrine à moitié dénudée sous ses hauts vulgaires ? Son tatouage qui ne vous parle pas ? Son manteau – tout comme son serre-taille – aux divers emplacements remplis de fioles de couleurs ? Ou bien son sourire ?

Ah... Qu'il est doux son sourire. Aussi mesquin que sadique, aussi prétentieux qu'attirant. La belle aurait pu être Harley Quinn dans un autre monde. Ici, elle n'est que Marie. Mais une Marie qui s'habillera sans réelles cohérences, une Marie qui se coiffera si et seulement si elle en a envie. Une Marie qui porte sur son visage une jovialité et une folie que vous ne savez pas distinguées. Vous pensez que l'un ne va pas sans l'autre ? Pauvres fous... Vous ne la connaissez pas ~

Mais ce n'est pas grave. Regardez-la bien. Regardez ses dents parfaitement blanches, un petit miracle quoi qu'on en dise. Regardez ses yeux noisettes qui papillonnent au grès d'une musique qu'elle fredonne. Écoutez sa voix. Elle n'a pas une voix suave ou sensuelle. Elle a une voix qui travaille, qui crie, qui ordonne. Elle a une voix qui ne laisse personne la contredire. Argumenter tout au mieux. Néanmoins, sa voix chante. Elle chante ce qu'elle fait, enfantine, inatteignable.

Vous la remettez ? Cette enfant, folle, tarée, qui créé des machines qui font des gros BOUM dans les montagnes ? Et bien c'est elle. Mais dites-moi, entre vous qui la jugez et elle qui sourit; entre les on-dits qui circulent sur la Folle et elle qui n'était rien pour devenir la meilleure.... Dites-moi donc qui est le Fou dans l'histoire ?


Psychée

Marie est... Marie. Il est difficile de l'expliquer en quelques mots, quelques phrases. Marie est cassée. Comprenons-nous bien, mentalement, cette enfant est cassée. Trop de vécus pour une si jeune femme. Alors que pouvez-vous voir en elle ? Pas grand chose. Vous verrez peu de choses. Peu dont vous serez certains tout du moins. Laissez-moi vous éclairez.

Lorsqu'elle travaille, Marie est imperméable aux informations inintéressantes. Que vous soyez un Prince, un esclave ou la Matriarche, si vous l'empêchait de travailler quand elle a un but en tête, elle vous enverra paître. Le statut n'a pas d'importance. De toutes façons, Marie n'a pas de respect pour les autres. Si elle vous appelle par un petit nom idiot ou rabaissant, c'est tout à fait normal. Le respect est secondaire dans son esprit. Le respect se gagne et se consume comme l'on consume un bon alcool. Avec parcimonie. Sinon on s'y habitue.

Lorsqu'elle ne travaille pas, Marie est d'humeur changeante. Loin de la bipolarité, la blonde aime jouer des émotions factices. Humour, dévotion, amour, folie. Haine, colère, mépris. Étonnement. Surjeu. Mesquinerie. Elle joue toutes les cartes qu'on lui a apprise ou qu'elle a observé. Elle s'amuse de vos réactions, détailler votre visage incrédule quand elle aura des actes que ni la morale, ni la loi n'approuve. Elle s'amusera de vous insulter sans raison après une crise de larme et enchaînera avec toute la jovialité du monde.

Pourquoi ? Parce qu'elle n'est plus entière. Parce qu'une part d'elle est morte il y a plus d'un siècle. Parce qu'en dehors de son labo, si ce n'est les gens, elle n'est nullement divertie. Vous êtes son deuxième meilleur jeu. Amusez-la.


Pouvoir

Une capacité n'arrivant jamais sans raison et pour la joie de la créatrice expérimentée qu'elle est, Marie maîtrise le feu. Entendons-nous de suite. Marie ne le créé pas. Elle a – par ailleurs - toujours sur elle un briquet et un morceau de silex. Marie utilise régulièrement sa capacité. Souvent pour moduler l'instensité d'un feu dans sa micro-forge, soit dans des moments sans corrélations les uns avec les autres lorsque l'envie lui prendre de donner vie à ces flammes. Elle peut donc en contrôler la taille, les augmentant tout comme les réduisant. Elle peut les modeler comme certains font de la poterie et il paraît évident que contrôler l'incendie d'une maison en flamme – par exemple – lui demandera nettement plus d'énergie que lorsqu'elle fait danser une poupée de flamme dans le creux de sa main.

De plus, Marie peut faire varier la chaleur d'un feu. Dans une certaine mesure cela va sans dire. Mais elle peut rendre un feu moins chaud ou plus. Ce qu'elle trouve pratique pour la fonte.

Enfin, il y a toujours une source de flamme chez elle. Que ce soit par la forge, le métal brûlant, une bougie, une lampe à huile.  


Histoire



Il est des choses dont on ne veut pas se rappeler. Il est des choses qu'on oublie. Et il existe des choses que rien ne pourrait effacer. Aujourd'hui je vais vous parler d'une histoire triste. Une de celle où nous sommes content de ne pas être à la place du protagoniste. Aujourd'hui, la protagoniste aurait dû s'appeler Marielle. C'était le nom que voulait lui donner sa mère. Et elle n'a pas eu le temps de le formuler qu'elle mourut après avoir donner vie à deux petites têtes blondes. La première hurla lors de son premier cri. La seconde, plus calme, observait doucement. Elles furent nommées Marie et Claire.

Nées esclaves au sein du Clan Miranna, elles grandirent entre des barreaux, nourries par des nourrices qui s'occupaient de leurs besoins. L'éducation fut rapidement oublié. Après tout, qui se ferait chier à éduquer des cobayes ? Elles étaient là pour servir la Science. Pas pour devenir Princesses. Et leur père me direz-vous ? Et bien leur père faisaient partis de ceux qui les regardaient de haut, sans autre émotion que de la colère. Très rapidement, les deux sœurs furent forcées de boire divers potions, pas très bonnes, qui leur donnait mal. Au crâne, au dos, au ventre. Trop jeunes pour comprendre, forcées, elles continuèrent toutes deux à boire ces liquides de couleurs étranges.

Plus faible de corps, Claire céda l'année de ses cinq ans. Et nous voilà avec Marie, seule, dans sa cage. Elle ne comprenait pas où était sa sœur. Ni pourquoi son maître était en colère. Elle ne comprenait pas grand chose et lorsqu'elle posait une question, on la giflait. Alors elle apprit à se taire.

Elle a tenté, comme tout enfant en période de non. Mais rapidement, gifle après gifle, coups après coups, la résistance s'amenuise. Punition après punition, l'esprit s'érode. Jour après jour, la virulence se meurt. Sa seule consolation repose dans les moments où on l'oblige à construire. D'abord des bijoux, des écussons et autres ornements au symbole des Miranna. Puis, suite à une création idiote de la part de l'esclave, on lui a fait construire de plus en plus de choses. Par le destin, le hasard, ou par besoin d'aimer quelque chose, la blonde s'est réfugiée dans la création.

Pourtant tout n'allait pas. Rien n'allait en vérité. Elle le savait. Mais que pouvait-elle faire ? Quand on ne lui donnait pas de poison, elle devait construire. Et si elle ne construisait rien... Alors elle n'était qu'un jouet. Un jouet dont on use jusqu'à le casser. Visiblement eux cassaient leurs jouets avant de les utiliser et les user encore et encore. Elle aurait pu s'y habituée. Si elle n'avait jamais eu quatorze ans.

Cette année-là, on la drogua de plus en plus, ralentissant ses expériences, accélérant les punitions. Elle sentait le poison dans ses veines et sa tête exploser. Elle sentait son corps craquer. Son maître n'avait pas de patience – étonnant n'est-ce pas ? - et se questionnait sur diverses choses. La reproduction entre races différentes. Que son esclave soit non consentante n'était pas important. Après tout, son père biologique était là pour la maintenir.

C'est la première fois qu'elle hurla. Le poison, la violence passaient. Ce monstre qui allait et venait sous ses larmes, sous ses cris, tentant de se débattre comme elle le pouvait... ça ne passait pas. Elle finit par abandonner. Simplement. Elle se souvient être restée là. Longtemps. À boire le poison en priant pour en mourir et rejoindre sa sœur, ne faisant plus attention à qui passait entre ses cuisses. Son maître, son père, des inconnus. Peu importait.

Tuez-moi. Vite. Laissez-moi mourir.

Mais vous savez, le monde n'est pas gentil pour une esclave. À force de rapports, son ventre grossit de plus en plus. Assez pour qu'on arrête de lui donner du poison. C'est lorsqu'elle tomba enceinte qu'on la marqua. C'était logique, elle pouvait se reproduire, il fallait la marquer. Le fer rouge eut raison de ses cris alors que le symbole des Miranna grava et se cicatrisa dans sa peau. Elle finit par entendre le cri de son fils alors que seize années d'enfer l'éloignait de son propre premier hurlement. On lui interdit qu'elle le prenne dans ses bras. C'est à peine si elle le vit. Elle n'entendit pas son premier mot non plus et n'eut pas le loisir de profiter de sa maternité. On reprit le poison pour elle et l'enfer se termina un soir d'hiver.

Un simple soit où on l'a sortit, attachée, bâillonnée devant une table. On présenta son fils et elle put observer ses yeux bleus qui l'observait. Elle souffrit de voir un questionnement. Il était si petit... Il était innocent. Et il ne reconnaissait pas sa mère... Elle assista, sans pouvoir faire quoi que ce soit, à la souffrance de son petit. Le sang qui quittait son corps. Elle avait beau hurler, remuer, elle n'arrivait pas à passer les mètres qui les séparait. Elle sembla se calmer lorsque le vampire redressa le petit corps sans vie, coupant son poignet pour le faire boire. Elle n'était pas calme. Elle était tétanisée. Figée dans un cauchemar qui n'avait pas de nom.

Sans surprise, l'enfant resta blanc et inerte. Comme sa mère. Il n'avait que quatre ans...

Lasse de pleurer, lasse de souffrir, Marie abandonna. Elle arrêta de manger, de boire, de répondre. Ses lèvres restèrent closes et son regard était mort. Cela ennuya son maître sans qu'il ne s'en inquiète non plus. Après tout, quand elle aura faim, elle mangerait. Et comme elle paraissait morte, il se laissa avec un peu plus « libre ». Être enchaîner ne représentait plus rien. Elle ne cherchait ni à fuir ni à se rebeller. Tout allait bien. Son jouet était cassé. Mais vivant. N'était-ce pas le plus important ? Sombre idiot. Un soir, alors qu'elle était seule, elle se leva. Le regard vitreux, le teint blafard, ses doigts attrapèrent les quelques objets de son « atelier ». Elle les monta, les travailla longuement pour créer une lame. Juste assez longue et aiguisée pour trancher. Sans ressentis, sans peur, sans colère, elle l'essaya sur sa propre peau. D'abord le bras. Lorsqu'elle observa le sang couler, elle semblait vide. Son bras se leva et il trancha sa propre gorge. Le sang fusa et elle se surprit à ne pas ressentir de douleur. Elle observa sa main rouge, la lame carmin. Et, depuis des années, si ce n'est pour la première fois, Marie souriait.

C'est à ce moment-là qu'elle oublia la particularité des vampires. Elle les oublia toutes. Aussi bien leur vitesse, leur force que leur ouïe. Son maître débarqua alors que son regard s'assombrissait, le sourire ravi, presque comme si, inconsciemment, elle le défiait de faire quelque chose. Ce qu'il fit. Il a attendu patiemment qu'elle soit aux portes de la mort pour la forcer à boire son sang. Ce qu'elle fera par instinct de survie. Instinct dont elle ignorait l'existence jusqu'alors.

C'est ainsi que sa peau perdit les quelques couleurs qu'elle avait. Ses cheveux, virant avec l'âge sur le châtain, retrouvèrent le doré de son blond natal. Ses yeux - aussi bleu que l'océan - se teintèrent lentement, devenant noisettes, marrons clairs. Ils semblèrent reprendre vie bien malgré elle – soyons d'accord. Et son enfer se poursuivit.

On remit l'esclave en cage, ignorant sa nouvelle condition. Et elle avait faim. Terriblement faim. Elle pensait connaître le sentiment. Elle se trompait.

On l'attacha de nouveau, on la priva de sang. Parfois, on jouait à la rendre folle, son maître se plaçant à la limite de sa portée pour la laisser humer l'odeur si attirant de l'hémoglobine. On la dressa durant de longues années. On l'affama. On joua de son corps. Jusqu'à ce qu'elle craque. Son cerveau s'embrouilla. Elle ne semblait plus distinguer ce qui était bien ou non. Elle ne distinguait plus les vampires devant elle ou les esclaves. Elle voulait juste... faire des choses. Ce qu'elle fit. Des années plus tôt, elle avait eu le droit de créer des poisons. Après tout, même sans connaître le mot, elle en ingurgitait depuis de longues années et lors de sa transformation en vampire, elle résista plutôt bien aux substances « fortes » que son possesseur avait acquit.

Elle ne parlait plus. Ni cri, ni hurlement, ni larme, ni mot. Elle hochait la tête comme le jouet cassé qu'elle était. Jusqu'à créer une potion. Une nouvelle potion qu'elle-même ne comprenait pas. Elle voulu l'offrir à son maître, se demandant si cela changeait la couleur du vin. Et lorsqu'il le but, elle resta de marbre en l'observant s'étouffer puis mourir. Elle ne ressentit rien. Ni joie, ni tristesse. Un grand vide. Comme depuis toujours. Il tenta de se raccrocher à la nappe. Un bruit de verre qui se brise et la main du vampire qui s'empale dessus.

Marie sentit le sang. Son regard rougit longuement alors qu'elle ne bougeait pas. Et elle finit par s'agenouiller à ses côtés, prenant le poignet de son maître pour manger. Lentement. Consciencieusement. Elle resta là, à boire, tant qu'il restait de son sang elle le dégustait. Lorsqu'elle termina, le vampire était mort depuis de longues heures et n'avait plus de sang. Marie était calme. Plus calme que ce qu'elle aurait dû.

Vêtue de ses haillons, elle prit la porte d'entrée avec une quiétude qui n'augurait rien de bon. Et elle fit son premier pas dans le monde extérieur. Personne ne la connaissait. Elle était seule. Elle observa les montagnes qui l'entouraient et marcha. Elle ne se préoccupait pas de son corps vaguement couvert, des marques qu'elle avait, de ses pieds nus. Elle se dirigea vers la capitale sans savoir où elle allait. Elle ne connaissait rien. Ou trop peu. Elle savait à peu près parler. À peu près.

Sans réellement savoir comment – remercions pour une fois le Destin -, elle arriva dans la Couronne de Carmin puis dans la Cité d'Exénis et enfin au palais. Elle écoutait. Les gens parlait de Nea comme d'une bonne personne. Intéressée par la connaissance, prônant la neutralité, anti-conflit. Cette même Nea qui vit débarquer une petite Marie, perdue, entre la terreur et l'incompréhension, parfois émerveillée de petites choses qui vous paraissent idiotes. Vous n'imaginez pas sa joie de marcher dans l'herbe, de toucher un animal, de passer une nuit sans qu'on ne la réveille pour la battre sans raison. Vous n'imaginez pas et pourtant c'est ce changement drastique qui finit de la briser. Son esprit se scinda et ne semblait pas prêt d'être recollé.

- - - - -

Un siècle passa. Marie apprit à lire et écrire, à se comporter correctement. On lui avait offert de l'amour – chose qu'elle ne comprenait que sur la théorie -, un endroit où elle était en sécurité et des connaissances. Beaucoup de connaissances. Pour elle qui ne connaissait rien, Nea avait des airs de déesse. Elle continuait à créer. Toujours plus, plus grand, plus … Plus. Il lui fallait tout ce qu'on lui avait interdit. Et Marie prit TOUT. Sans concession, sans compromis. Ne pouvait-elle pas se le permettre après tout ?

Elle finit quand même par partir du palais. Elle avait besoin de matériaux pour ses créations, elle avait besoin de bouger pour apprendre ce que la théorie n'expliquait pas. Et parce qu'elle avait besoin d'être seule. D'avoir son chez-elle, avec ses règles. C'est comme ça qu'elle quitta le palais. Pour ouvrir son commerce et avoir plus de possibilités de créations. Et c'est ainsi que vous la découvrirez.

Entre vous et moi, je vous dirais bien que Marie est une personne gaie et joviale mais ce n'est pas le cas. Marie fuit la lucidité comme certains fuient les responsabilités. Elle fuit son passé en essayant de trouver un avenir. Mais son esprit est brisé, son cœur meurtri. Malgré le tatouage qui recouvre son ancienne marque d'appartenance, malgré sa notoriété grandissante, ses idées, son génie pourrait-on dire... Malgré sa grande gueule et ses surnoms débiles, Marie est triste. Seule. Blessée. Brisée. Reste à voir si elle peut avancer ainsi ou si vous réussirez à la changer. Ou juste faire avec son caractère changeant. Après tout, maintenant, qui peut lui faire du mal ?





Petit mot au staff :
Message par Invité Lun 16 Sep - 22:59
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Invité

Coucou o/ J'ai finiiii \o/
Message par Invité Mar 17 Sep - 22:40
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Conformément a ce qui à été discuté avec la joueuse, la fiche part en Archives, et le compte est passé en "Mort" jusqu'a ce qu'elle soit prête à le rejouer :3
Message par La Matriarche Mar 24 Sep - 8:47
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