Le Deal du moment :
Fnac : 2 jeux de société achetés ...
Voir le deal

emakko kaurismäki [terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

avatar
Invité

Emakko Kaurismäki


« patience et longueur de temps font plus que force ni que rage »


Informations



Prénoms : Emakko
Nom : Kaurismäki
Age : 232 ans
Clan :  Newind
Groupe : vampire
Métier : chasseuse
Orientation sexuelle : bisexuelle
Situation familiale : célibataire
Familier : un loup (Teemu)

Pseudo : emakko
Comment avez vous connu le forum ? annuaire
Avez vous signé le règlement ? oui
Un dernier mot ?Je préfère la qualité à la quantité...



Physique

Emakko a l'allure d'une jeune femme grande et svelte. Sa peau est pâle, même pour une vampire, ses cheveux sont d'un noir de jais, tout comme ses yeux, qui constituent la partie la plus expressive de son visage. En effet, extérieurement, Emakko est une personne qui ne reflète aucune émotion. Sa bouche d'un rouge sanglant se laisse rarement déformer par un sourire ou par la colère. Elle porte généralement des vêtements fonctionnels, qui lui permettent de bouger facilement, de couleur sombre.  


Psychée

Emakko n'a jamais vraiment eu grand chose d'humain dans son caractère, et cela bien avant d'être une vampire. Sa transformation n'aura été finalement que la formalité d'un état dans lequel elle se trouvait déjà depuis des années. Froide, on pourrait même dire austère, Emakko n'a pas développé les moyens de communication sociale typiques des humains. Elle n'est pas bavarde ni souriante, et son absence visible d'émotions peuvent donner l'impression que vous conversez avec un bloc de glace. Pourtant, derrière cette façade, Emakko est animée d'une vie interne toute aussi dense que celle de n'importe qui. Son corps est une prison derrière laquelle se retranche une âme empêchée de s'épanouir depuis sa plus tendre enfance. Percez la surface, et vous pourrez, peut être, si vous le méritez, découvrir un univers passionné dont vous aurez du mal à vous défaire. Emakko est fondamentalement une louve, elle aimera tout aussi passionnément, sera fidèle à ses valeurs jusqu'à la mort, tout en faisant preuve dans la vie courante d'une absence d'empathie et d'humanité tout à fait effrayante. Adepte des parties de chasse sanglantes, elle éprouve un plaisir très animal à jouer avec ses proies. Pourtant, Emakko est plus sauvage que cruelle, elle porte en elle des valeurs très fortes, et gare à celui qui s'y confrontera!


Pouvoir

Même pour un membre de Newind, Emakko entretient un rapport singulier à la nature et aux animaux. Cela vient du fait qu'elle connaissait cette symbiose avant sa transformation. Devenir vampire a développé considérablement des pouvoirs qui existaient déjà à l'état naturel. Elle est capable de comprendre n'importe quel animal bien mieux qu'elle ne comprends ses congénères ou les humains. Elle se transforme naturellement en loup.


Histoire

L'histoire d'Emakko pourrait être triste, mais elle se rapporte davantage au sentiment d'horreur que pouvait dégager la race humaine avant son asservissement. En ce temps-là, les vampires n'avaient pas encore envahi le monde.
Emakko est née dans un petit village du nord, aux confins du territoire des montagnes devenu par la suite Mistralin, issu d'un peuple semi-nomade d'éleveurs de rennes très superstitieux. Née une nuit de pleine lune et d'orage, Emakko est arrivée sous de mauvais hospices et provoqua la mort de sa mère en couches. Pire que tout, son minuscule crane était couvert d'une toison noire de jais, et sa bouche pourvue d'une petite dent d'ivoire, signe incontestable de sorcellerie et de mauvais œil. Pour ce peuple conditionné par des siècles de tradition, dont les individus avaient généralement les cheveux et les yeux clairs, la venue de cet étrange nourrisson était un signe du destin. Les Dieux courroucés leur envoyaient un avertissement, et ils se devaient de l'éloigner promptement.
L'enfant fut donc confiée à des cousins éloignés, dans un village sédentaire, plus au sud, non loin de la lisière de la forêt d'Aubéclat. Cette bouche inutile à nourrir ne fut pas très bien accueillie par sa nouvelle famille, des paysans qui cultivaient le maïs et élevaient des cochons. Sans plus d'état d'âme, le bébé fut jeté dans l'un des enclos peuplé de porcs, animaux réputés pour manger tout ce qu'on leur présentait.
Contre toute attente, l'enfant ne fut pas dévorée, mais nourrie par une énorme truie qui venait de mettre bas sa portée.
Il fallut plusieurs semaines aux paysans pour s'apercevoir que le petit corps rose et dodu qui frétillait parmi l'amas de petits cochons, était celui du bébé qu'on leur avait confié. Emakko fut ainsi nommée, ce mot signifiant "truie" dans le dialecte local.
D'abord consternés, les paysans finirent par ignorer la présence de l'enfant, et s'accoutumèrent à la nourrir comme ses frères et sœurs des déchets de la famille : pelures de légumes, restes de viande parfois, bouillie de céréales... Ainsi grandit Emakko dans la tiédeur de la paille, dans la joie des courses endiablées avec ses frères et sœurs, et les longs sommeils repus de lait et de légumes avariés.
Cette quiétude animale ne dura que quelques années. Jusqu'au jour où la truie fut désignée pour servir de dîner. Sous les yeux horrifiés de la fillette, on emporta l'énorme animal vociférant jusqu'à un crochet où on la suspendit, et sans autre forme de procès, on lui ouvrit les viscères qui se répandirent au sol dans un fabuleux fracas de sang répandu.
Eperdue, Emakko n'eut d'autre instinct que la fuite, qui l'emporta loin de la ferme, et loin du village, quittant les montagnes pour la forêt profonde.
L'histoire d'Emakko fut par la suite une succession de périodes solitaires et sauvages, en compagnie principalement des loups qui la prirent dans leur meute, des renards malicieux, des lapins juteux, des mulots croquant sous les canines, et des insaisissables oiseaux que pourtant, comme ses frères, elle ne pouvait s'empêcher de poursuivre.
Arriva pourtant le jour où la civilisation la retrouva. Les humains, en qui elle n'avait jamais connu aucune chaleur, et qui tentèrent pourtant de l'éduquer à d'autres mœurs que les chasses en forêt et les toilettes mutuelles. Au lieu de ça, elle dut porter chaussures et vêtements puis, grandissant et changeant, subir la proximité de ces corps sans odeurs, de ces mains sans douceur qui pétrissaient encore et encore sa chair privée de liberté. Sa seule concession à ce monde étrange, était le bonheur de la lecture que l'instruction sommaire dont elle bénéficiait lui avait permis de découvrir. Inutile à la société, on fit d'elle ce que l'on fait toujours des jeunes filles sans attaches : on vendit ses charmes comme jadis les corps sans vie de ses congénères porcins, et comme eux elle se tînt immobile, nuit après nuit, attendant que la mort la gagne sous les grognements et assauts d'autres porcs bien plus répugants que ceux qui l'avaient nourrie. Son désespoir était tel qu'il sourdait de tout son corps, de toute son âme, comme un cri silencieux mais lancinant, qui imprégnait l'atmosphère autour d'elle. Le bois des poutres et des murs, la pierre du sol, jusqu'à la poussière de sable soulevée par les courants d'airs des portes qui successivement s'ouvraient et se fermaient au gré de ses visiteurs nocturnes. Et ce vent chargé de désespoir se porta jusque dans la forêt où son frère loup le plus dévoué, Teemu, la cherchait sans relâche. Et il la trouva. Humant l'air de son flair surdéveloppé, l'animal trouva sa trace, la pista, traquant l'affolante odeur de peur qu'elle émettait. Jusqu'à ce qu'il déboule dans cette chambre sordide où sa sœur, fantôme fluet de la créature jadis musculeuse et pleine de santé qui dévalait les bois avec lui, gisait sous le poids d'un ivrogne occupé à la besogner. C'est un grognement partagé entre un loup féroce et une jeune fille sauvage qui déchira l'atmosphère de la chambre, bientôt maculée d'un sang provoqué autant par des morsures animales qu'humaines.
Quand d'autres humains déboulèrent dans la chambre, loup et jeune fille dévalaient déjà les ténèbres des rues et s'enfuyaient à toutes pattes vers le réconfort de la forêt.
C'est ici, bien des années plus tard, lorsque la Lune Noire apparut et que les vampires entreprirent de dominer le royaume, qu'Emakko rencontra celui qui fit d'elle une vampire. Cette créature humaine qui sentait le sang, se comportait en animal et la pistait sans arrêt. D'approches fugaces en contacts furtifs, le vampire gagnit peu à peu la confiance de la jeune femme, et l'instruisit à son tour d'une toute autre culture, plus proche qu'aucune ne l'avait été de sa nature profonde. C'est ainsi que pour la seule et unique fois de sa vie, Emakko fut pénétrée d'un contact librement consenti, pleinement accepté, et devint à son tour une créature de la nuit. 


Crédits Avatar


Code:
Nom de l’œuvre d'origine - Nom du personnage → Nom du personnage Lune Noire
OU
Nom de l'artiste - Nom de l'image → Nom du personnage Lune Noire


Message par Invité Lun 23 Mar - 15:22
avatar
Invité

j'ai pas réussi à faire mieux pour insérer l'image, si quelqu'un peut m'aider Embarassed
Message par Invité Jeu 26 Mar - 16:36
avatar
Invité

Coucou Smile

Je sais pas si je peux mais je me permet. Tu copies/colles le code à la place de ton message, ça devrait être bon Wink


Code:
<div class="FichePres"><h1>Emakko Kaurismäki</h1>
<p class="Citation">« patience et longueur de temps font plus que force ni que rage »</p>
<div class="FichePressAvaCadre"><h2>Informations</h2>
<img src="https://i.servimg.com/u/f39/20/18/30/04/ema211.jpg"/><p>
<span>Prénoms :</span> Emakko
<span>Nom :</span> Kaurismäki
<span>Age :</span> 79 ans
<span>Clan :</span>  Newind
<span>Groupe :</span>
<span>Métier :</span> chasseuse
<span>Orientation sexuelle :</span> bisexuelle
<span> Situation familiale :</span> célibataire
<span>Familier :</span> un loup (Teemu)


[b]Pseudo :[/b] emakko
[b]Comment avez vous connu le forum ?[/b] annuaire
[b]Avez vous signé le règlement ?[/b] oui
[b]Un dernier mot ?[/b]</p></div> j'aime les rp de qualité

<div class="FichePressCadre"><h2>Physique</h2> Emakko a l'allure d'une jeune femme grande et svelte. Sa peau est pâle, même pour une vampire, ses cheveux sont d'un noir de jais, tout comme ses yeux, qui constituent la partie la plus expressive de son visage. En effet, extérieurement, Emakko est une personne qui ne reflète aucune émotion. Sa bouche d'un rouge sanglant se laisse rarement déformer par un sourire ou par la colère. Elle porte généralement des vêtements fonctionnels, qui lui permettent de bouger facilement, de couleur sombre.  </div>

<div class="FichePressCadre"><h2>Psychée</h2> Emakko n'a jamais vraiment eu grand chose d'humain dans son caractère, et cela bien avant d'être une vampire. Sa transformation n'aura été finalement que la formalité d'un état dans lequel elle se trouvait déjà depuis des années. Froide, on pourrait même dire austère, Emakko n'a pas développé les moyens de communication sociale typiques des humains. Elle n'est pas bavarde ni souriante, et son absence visible d'émotions peuvent donner l'impression que vous conversez avec un bloc de glace. Pourtant, derrière cette façade, Emakko est animée d'une vie interne toute aussi dense que celle de n'importe qui. Son corps est une prison derrière laquelle se retranche une âme empêchée de s'épanouir depuis sa plus tendre enfance. Percez la surface, et vous pourrez, peut être, si vous le méritez, découvrir un univers passionné dont vous aurez du mal à vous défaire. Emakko est fondamentalement une louve, elle aimera tout aussi passionnément, sera fidèle à ses valeurs jusqu'à la mort, tout en faisant preuve dans la vie courante d'une absence d'empathie et d'humanité tout à fait effrayante. Adepte des parties de chasse sanglantes, elle éprouve un plaisir très animal à jouer avec ses proies. Pourtant, Emakko est plus sauvage que cruelle, elle porte en elle des valeurs très fortes, et gare à celui qui s'y confrontera! </div>

<div class="FichePressCadre"><h2>Pouvoir</h2> Même pour un membre de Newind, Emakko entretient un rapport singulier à la nature et aux animaux. Cela vient du fait qu'elle connaissait cette symbiose avant sa transformation. Devenir vampire a développé considérablement des pouvoirs qui existaient déjà à l'état naturel. Elle est capable de comprendre n'importe quel animal bien mieux qu'elle ne comprends ses congénères ou les humains. Ce pouvoir s'étend à tous les éléments naturels : lorsqu'elle touche une surface, que ce soit de la pierre, du bois, ou du végétal, Emakko est parfois capable de ressentir des bribes de souvenirs liés à cet élément. C'est un pouvoir qui s'impose à elle plus qu'elle ne le maîtrise, il survient souvent inopinément, et lui confère des visions qu'elle n'est pas toujours en mesure de comprendre. </div>

<div class="FichePressCadre"><h2>Histoire</h2> L'histoire d'Emakko pourrait être triste, mais elle se rapporte davantage au sentiment d'horreur que pouvait dégager la race humaine avant son asservissement.
Emakko est née dans un petit village du nord, aux confins du territoire des montagnes devenu par la suite Mistralin, issu d'un peuple semi-nomade d'éleveurs de rennes très superstitieux. Née une nuit de pleine lune et d'orage, Emakko est arrivée sous de mauvais hospices et provoqua la mort de sa mère en couches. Pire que tout, son minuscule crane était couvert d'une toison noire de jais, et sa bouche pourvue d'une petite dent d'ivoire, signe incontestable de sorcellerie et de mauvais œil. Pour ce peuple conditionné par des siècles de tradition, dont les individus avaient généralement les cheveux et les yeux clairs, la venue de cet étrange nourrisson était un signe du destin. Les Dieux courroucés leur envoyaient un avertissement, et ils se devaient de l'éloigner promptement.
L'enfant fut donc confiée à des cousins éloignés, dans un village sédentaire, plus au sud, non loin de la lisière de la forêt d'Aubéclat. Cette bouche inutile à nourrir ne fut pas très bien accueillie par sa nouvelle famille, des paysans qui cultivaient le maïs et élevaient des cochons. Sans plus d'état d'âme, le bébé fut jeté dans l'un des enclos peuplé de porcs, animaux réputés pour manger tout ce qu'on leur présentait.
Contre toute attente, l'enfant ne fut pas dévorée, mais nourrie par une énorme truie qui venait de mettre bas sa portée.
Il fallut plusieurs semaines aux paysans pour s'apercevoir que le petit corps rose et dodu qui frétillait parmi l'amas de petits cochons, était celui du bébé qu'on leur avait confié. Emakko fut ainsi nommée, ce mot signifiant "truie" dans le dialecte local.
D'abord consternés, les paysans finirent par ignorer la présence de l'enfant, et s'accoutumèrent à la nourrir comme ses frères et sœurs des déchets de la famille : pelures de légumes, restes de viande parfois, bouillie de céréales... Ainsi grandit Emakko dans la tiédeur de la paille, dans la joie des courses endiablées avec ses frères et sœurs, et les longs sommeils repus de lait et de légumes avariés.
Cette quiétude animale ne dura que quelques années. Jusqu'au jour où la truie fut désignée pour servir de dîner. Sous les yeux horrifiés de la fillette, on emporta l'énorme animal vociférant jusqu'à un crochet où on la suspendit, et sans autre forme de procès, on lui ouvrit les viscères qui se répandirent au sol dans un fabuleux fracas de sang répandu.
Eperdue, Emakko n'eut d'autre instinct que la fuite, qui l'emporta loin de la ferme, et loin du village, quittant les montagnes pour la forêt profonde.
L'histoire d'Emakko fut par la suite une succession de périodes solitaires et sauvages, en compagnie principalement des loups qui la prirent dans leur meute, des renards malicieux, des lapins juteux, des mulots croquant sous les canines, et des insaisissables oiseaux que pourtant, comme ses frères, elle ne pouvait s'empêcher de poursuivre.
Arriva pourtant le jour où la civilisation la retrouva. Les humains, en qui elle n'avait jamais connu aucune chaleur, et qui tentèrent pourtant de l'éduquer à d'autres mœurs que les chasses en forêt et les toilettes mutuelles. Au lieu de ça, elle dut porter chaussures et vêtements puis, grandissant et changeant, subir la proximité de ces corps sans odeurs, de ces mains sans douceur qui pétrissaient encore et encore sa chair privée de liberté. Sa seule concession à ce monde étrange, était le bonheur de la lecture que l'instruction sommaire dont elle bénéficiait lui avait permis de découvrir. Inutile à la société, on fit d'elle ce que l'on fait toujours des jeunes filles sans attaches : on vendit ses charmes comme jadis les corps sans vie de ses congénères porcins, et comme eux elle se tînt immobile, nuit après nuit, attendant que la mort la gagne sous les grognements et assauts d'autres porcs bien plus répugants que ceux qui l'avaient nourrie. Son désespoir était tel qu'il sourdait de tout son corps, de toute son âme, comme un cri silencieux mais lancinant, qui imprégnait l'atmosphère autour d'elle. Le bois des poutres et des murs, la pierre du sol, jusqu'à la poussière de sable soulevée par les courants d'airs des portes qui successivement s'ouvraient et se fermaient au gré de ses visiteurs nocturnes. Et ce vent chargé de désespoir se porta jusque dans la forêt où son frère loup le plus dévoué, Teemu, la cherchait sans relâche. Et il la trouva. Humant l'air de son flair surdéveloppé, l'animal trouva sa trace, la pista, traquant l'affolante odeur de peur qu'elle émettait. Jusqu'à ce qu'il déboule dans cette chambre sordide où sa sœur, fantôme fluet de la créature jadis musculeuse et pleine de santé qui dévalait les bois avec lui, gisait sous le poids d'un ivrogne occupé à la besogner. C'est un grognement partagé entre un loup féroce et une jeune fille sauvage qui déchira l'atmosphère de la chambre, bientôt maculée d'un sang provoqué autant par des morsures animales qu'humaines.
Quand d'autres humains déboulèrent dans la chambre, loup et jeune fille dévalaient déjà les ténèbres des rues et s'enfuyaient à toutes pattes vers le réconfort de la forêt.
C'est ici, bien des années plus tard, qu'Emakko rencontra celui qui fit d'elle une vampire. Cette créature humaine qui sentait le sang, se comportait en animal et la pistait sans arrêt. D'approches fugaces en contacts furtifs, le vampire gagnit peu à peu la confiance de la jeune femme, et l'instruisit à son tour d'une toute autre culture, plus proche qu'aucune ne l'avait été de sa nature profonde. C'est ainsi que pour la seule et unique fois de sa vie, Emakko fut pénétrée d'un contact librement consenti, pleinement accepté, et devint à son tour une créature de la nuit. </div>

<div class="FichePressCopyCadre"><h2>Crédits Avatar</h2>
[code]Nom de l’œuvre d'origine - Nom du personnage → Nom du personnage Lune Noire
OU
Nom de l'artiste - Nom de l'image → Nom du personnage Lune Noire[/code]
</div>

</div>
Message par Invité Jeu 26 Mar - 21:35
avatar
Invité

merci pour votre aide Smile
Message par Invité Jeu 26 Mar - 23:17
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des vampires !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande d'esclave et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Lun 30 Mar - 14:31
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Bonjour,

Suite au recensement fait sur le forum entre mai et juin 2020, le personnage est passé dans le groupe mort.

S'il s'avère qu'il ne s'agit que d'un oubli de recensement, merci de contacter le compte "La Matriarche" par MP pour annuler la mise en Mort.

Cordialement,
Message par La Matriarche Lun 22 Juin - 12:00
Contenu sponsorisé

Message par Contenu sponsorisé

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum