Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Dr Heysen, médecin désenchanté (Terminée)

Ramus Heysen
Ramus Heysen
Clirwelle
Messages : 145
Date d'inscription : 29/12/2022

Ramus Heysen


« Il existe pire que la mort, croyez moi. »


Informations


Dr Heysen, médecin désenchanté (Terminée) 7mo5


Surnom : Dr Heysen
Prénom : Ramus
Nom : Heysen
Âge réel : 48 ans d'aspect, 210 années vampiriques
Clan : Clirwelle
Groupe : Vampire
Métier : Médecin et chercheur
Orientation sexuelle : Demi-sexuel
Situation familiale : Célibataire endurci, Père vampirique décédé peu de temps après son sevrage
Familier : Letih, une louve grise européenne
Religion : La science

Pseudo : Carla
Comment avez vous connu le forum ? L'internet!
Avez vous signé le règlement ? Oui!
Un dernier mot ? Carabistouilles.


Physique



Depuis qu’il est devenu immortel, les cheveux et la barbe de Ramus ont pris une teinte d'un blanc gris qu'il déteste. Le médecin avait pu constater qu'une modification de pigmentation capillaire pouvait advenir lors de la conversion en vampire, et ce même chez les sujets transformés jeunes. D’après ses observations (et surtout son expérience personnelle), cet état serait dû au choc psychologique que la transformation impliquait. Mais il avait beau essayer de l’intellectualiser, il exécrait cette nouvelle pilosité. Pourtant si vous croisiez Ramus, vous trouveriez que cette teinte associée à ses rides légères ajoutent à son charme d’homme dans la fleur de l’âge. S’ajoute au tableau sa chevelure fournie et sa barbe toujours coupée au millimètre près ainsi que son agréable visage ovale encadré d’une mâchoire prononcée qu’il fait jouer en cas de réflexion ou de contrariété.

Alors oui, du haut de ses deux mètres, Ramus ne manque clairement pas de prestance, et il le sait. Mais même s’il en a conscience, l’attrait qu’il suscite aux autres ne l’intéresse pas le moins du monde. Même, nous pourrions dire que son désintérêt tourne parfois à l’aversion. Pour exemple, une vampire un peu trop entreprenante lui avait un jour fait remarquer qu’il pourrait en faire tourner des cœurs avec sa « belle gueule ». Ramus l’avait alors dévisagée, dégoûté, se retenant avec beaucoup de difficulté de la gifler séance tenante. Les compliments l’irritent, d’autant plus quand ces derniers concernent son physique. Futilité nécessaire pour le médecin, le corps n’est que le réceptacle de l’esprit qui lui, permet aux créatures de ce monde de s’élever. De ce fait, le corps se doit d’être bien entretenu et soigné, mais en aucun cas glorifié. Suivant cette logique, Ramus ne prend pas soin de son apparence outre mesure, à part d’un point de vue hygiénique. Chaque jour il se lave entièrement au moins une fois, et il se coupe religieusement les cheveux et la barbe. Son accoutrement, généralement composé d’un pantalon de toile simple associé à une chemise, sont toujours propres et dans un état impeccable. Quand il consulte, il revêt une tunique d’une blancheur immaculée afin de prouver la propreté de son travail. L’hygiène est un point extrêmement important pour le médecin, et il est particulièrement intransigeant sur ce point.

Seule partie de son corps qui a le droit aux plus grands égards : ses mains. Selon Ramus, les mains d’un chirurgien sont ses outils les plus précieux. Comment serait-il en mesure d’exercer son art si ses doigts venaient à être abîmés ? Ne plus être en mesure de les utiliser de manière optimale équivaudrait pour lui à un suicide pur et simple. Ainsi il en prend grand soin, et passe des heures chaque semaine à les manucurer, les massant consciensieusement avec onguents et cataplasmes en tous genre. De ce fait quand vous apercevez ses mains, sa carrure et son visage, vous pourriez le considérer comme un personnage avenant, d’autant plus s’il vous arrive d’être son patient. Face aux malades, Ramus peut passer d’une tonalité blasée à neutre en fonction du motif de consultation. Il pourrait même apparaître comme presque sympathique avec vous, surtout si votre mal représente un cas rare ou exotique. Mais prenez garde à ne pas tenter de le séduire, il a horreur de ça.

Et c’est sûrement dans le but de décourager les éventuels prétendants que Ramus change de comportement quand il est en interaction avec autrui en dehors de son cabinet, notamment avec les étrangers (ce qui représente la plupart des gens qu'il côtoie). Il revêt alors une attitude renfermée à laquelle il ajoute un ton dédaigneux sur sa profonde voix de baryton. Sans parler de ses yeux verts souvent teintés d’une grande froideur, d’agacement, parfois de colère, et plus rarement d’intérêt. Pourtant si vous parveniez à soutenir son regard assez longtemps, vous pourriez déceler le magnétisme étrange qui semble s’y refléter. Comme si sous l’apparence d’homme de science mesuré et détaché qu’il se donne, une bête se cachait. Mais la plupart des êtres, humains comme vampires, ne souhaitent pas soutenir son regard émeraude assez longtemps pour s’en rendre compte.


Psychée


Calme, distant et poli avec ses patients, froid, méfiant et hautain avec la plupart des autres : telle est la personnalité de Ramus. Mais d’autres adjectifs peuvent qualifier le médecin : solitaire et désabusé. Ramus déteste être un vampire. Son père vampirique l’a transformé sans son consentement à l’époque, et il l’a toujours haï pour cela. Chaque fois qu’il aperçoit ces cheveux blancs dans le miroir, il se souvient des horreurs perpétrées par les deux camps durant la guerre, des douleurs infligées par ses pairs envers les humains maintenant relégués au rang d’esclaves. Ramus lutte constamment contre la honte et le dégoût que lui suscite sa condition, d’autant plus quand ses propres instincts vampiriques l’imprègnent. Il a tenté de ne boire que le sang des animaux, mais ça ne repaît pas, tout du moins pas assez pour annihiler la faim qui dévore le vampire. Alors le plus souvent il demande du sang humain en dédommagement de ses soins, hémoglobine qu’il prélève souvent sur la famille du patient après avoir recueilli leur consentement.

Mais désormais l’argent et le sang ne sont plus les problèmes majeurs de Ramus.

Pour preuve, c’est un excellent chirurgien, et il est assez vieux pour s’être assuré de belles économies. Non ce qu’il déteste par-dessus tout dans le panel de cadeaux offerts par la transition, c’est bien la luxure. Le médecin ne sait que trop bien de quoi est capable un vampire excité, et il ne compte plus les corps des pauvres vampires ou esclaves qu’il a dû prendre en soins suite à des assauts un peu trop violents. D’autant qu’il lui ait déjà arrivé par le passé de surprendre certains actes concupiscents. Le médecin avait alors été horrifié de constater que ces scènes suscitaient en lui d’autres appétits, et qu’il ne valait pas mieux que n’importe quel autre vampire. Mais Ramus décida qu’il ne pouvait et ne voulait pas se le permettre : il craignait trop de perdre le contrôle. Ainsi il refreine férocement ses envies sous un masque de condescendance et de froideur, et ce encore aujourd’hui. C’est sûrement pour cela qu’il déteste autant qu’on tente de le charmer. D’autant plus que Ramus a déjà craqué, et le résultat n’avait pas été beau à voir, confirmant son aversion pour lui-même.

Les deux seuls avantages qu’il trouve à être vampire, c’est son pouvoir et l’immortalité, cadeaux à double tranchant. Certes il n’oubliera jamais tous ces souvenirs affreux qui le hantent, et il devra toujours vivre avec lui-même, devant se supporter au jour le jour, mais grâce à sa condition il peut s’adonner à ses seules passions sans restriction : la médecine et la recherche. Ces deux sciences sont bien sa seule luxure, et il s’y donne corps et âme. Un de ses grands rêves est de percer le secret de la transformation vampire et ses effets, mais il est encore loin d’avoir découvert quoi que ce soit de concret. Pourtant il s’en est donné les moyens à une époque… Ramus est capable d’aller très loin au nom de la science, reniant même parfois ses principes s’il pense qu’il touche du doigt une véritable révélation.

Pour s’évader et connaître de rares moments de paix, Ramus jardine. Il adore les plantes et quand il a un cabinet fixe, il le remplit de végétaux tous plus excentriques les uns que les autres. Le médecin considère que ces beautés végétales sont d’excellente compagnie, puisqu’elles n’ont pas d’émotion et qu’elles ne sont pas douées de parole. Ainsi elles ne peuvent ni le couper dans ses réflexions ni l’abreuver de sentiments tous plus irritants les uns que les autres. Après tout ce qu’il a vu et entendu, Ramus s’est comme doté d’une imperméabilité aux émotions d’autrui, et son empathie est presque inexistante.  Il pense sincèrement que s’il n’avait pas rapidement pris cette attitude durant la guerre et par la suite, il serait sans doute devenu fou. Alors quand un sentiment fait surface dans l’océan calme et plat de l’esprit de Ramus, il est souvent assez violent. De ce fait quand il ne consulte pas, Ramus reste dans son bureau entouré de ses plantes à lire ou à étudier sa prochaine expérience, sa louve Letih lovée à ses pieds, seul être vivant qu’il supporte à ses côtés.


Pouvoir


  • Mémoire de la chair

Ramus peut ressentir les douleurs inscrites dans la chair d'un être vivant ainsi que les émotions et/ou souvenirs qui y sont liés s'il le souhaite. Ce pouvoir fonctionne aussi sur les blessures que le sujet a oublié.

Ainsi si le médecin se concentre en passant sa main sur la peau nue d’un individu, il peut ressentir les douleurs actuelles et anciennes qui imprègnent son corps. Le médecin parle de son pouvoir comme une sorte d'instinct, car il considère qu’il ressent plus qu’il ne voit le mal, comme une intuition puissante. Notons que Ramus doit passer la paume à l'endroit même du mal pour en connaître précisément sa nature. L’être qui subit l’évaluation sent une douce chaleur émanant de la main de Ramus, mais il n’y a aucune conséquence pour lui. En revanche pour le médecin, ces examens peuvent être éprouvants. En effet s'il doit se concentrer suffisamment, par exemple quand il éprouve des difficultés à trouver la source des symptômes de son patient, son ressenti est alors parasité par les émotions ou souvenirs associés à la douleur inscrite. De ce fait les maux plus complexes sous tendent une plus grande implication psychique pour Ramus. Il n'est pas particulièrement friand de ce type de consultations, mais son amour pour la recherche surpasse son aversion pour les émotions. Remarquons que si le médecin utilise son pouvoir sur le cerveau, son ressenti est alors toujours parasité par les souvenirs du patient ainsi que les émotions qui en découlent, entreprise qu’il déteste donc. Pourtant s’il prenait le temps de développer son pouvoir en le concentrant à cet endroit, Ramus pourrait sûrement développer des capacités prescientes.

Mais la plupart du temps, le médecin n’a pas besoin de trop forcer pour obtenir ce qu’il recherche puisqu'il utilise son pouvoir dans le but de s’aider dans l’exercice de la médecine. Ainsi quand les patients se présentent à son cabinet, la plupart connaissent déjà l'emplacement de la douleur qui les pousse à consulter. Ramus n'a alors pas besoin d'utiliser très longtemps son pouvoir. De ce fait il peut enchaîner au moins six petites consultations par jour sans grande conséquence. Mais si un examen dure plus longtemps que les autres, s'ensuivent des symptômes plus ou moins désagréables. Comme des maux de tête, une grande fatigue l'amenant à dormir de quelques heures à plusieurs jours,  une irritabilité menaçante, un besoin de s'isoler dans son bureau pendant plusieurs semaines, voire même un retour à la vie sauvage si les émotions d'autrui l'ont suffisamment écœuré.

Ramus parvient à évaluer le degré d’ancienneté d’un mal en fonction de son intensité, de sa nature et de sa tonalité (vive, sourde, lointaine…). Grâce à cette échelle il peut déterminer si la maladie est encore d’actualité ou non. De son propre point de vue, Ramus considère que chaque douleur ressentie reste à jamais inscrite en mémoire, et ce même de manière inconsciente. En associant son pouvoir avec son savoir médical, le médecin est alors en mesure de localiser la douleur, de l’associer à un organe et de presque toujours faire un diagnostic exact.


Histoire


Durant sa vie humaine, Ramus a réalisé ses études de médecine avec brio. Venant d’une famille bourgeoise, ses parents ont pu lui payer ses études sans trop de difficulté. A l’université, il rencontra sa femme avec qui il eut des enfants : il était heureux. Pour lui à cette époque, chaque vie était précieuse et se devait d'être sauvegardée coûte que coûte. Dans ce but il soignait autant les belles que les mauvaises âmes. Il n’était ainsi pas rare qu’on aperçoive Ramus faire des heures supplémentaires dans les prisons ou les sanatoriums.

Médecin insouciant et travailleur, le début de la guerre le plongea dans un désarrois infini. Il ne comprenait pas pourquoi au lieu de se battre, les humains et les vampires ne tentaient pas de se comprendre. Ramus s’enrôla immédiatement dans l’armée pour être dépêché au front tandis que sa femme restait en arrière avec ses enfants. Il soignait sans relâche tous les êtres qui passaient sous ses mains, vampires comme humains, à la grande colère de ses supérieurs hiérarchiques. En désaccord avec ces derniers, Ramus finit par déserter l’armée humaine au risque d'être pendu. Ainsi le médecin put continuer à soigner sans distinction dans son coin, et ce malgré les horreurs dont il était le témoin. Il était clair que les vampires semblaient d’autant plus cruels que les humains, mais Ramus rationnalisait en se disant que son point de vue était biaisé. Alors il maintint son cap moral et continua à soigner tous les êtres qu’il trouvait sur les champs de bataille. Cependant cette bonté lui infligea un mauvais coup du sort le jour où le vampire qu’il soignait se jeta sur lui. Cela faisait plusieurs jours qu’il s’occupait de celui-ci, mais apparemment ses soins furent bien trop efficaces. L’immortel but son sang presque jusqu’à la dernière goutte. Pris de remords et voyant l’avantage de posséder un si bon soignant dans leurs rangs, le vampire avait alors fait boire son propre sang à Ramus. Le médecin avait tenté de repousser l’être impur, mais il était clairement trop faible pour résister. Quand il s’était réveillé avec cette soif qui le dévorait désormais chaque jour, il avait eu envie de vomir. Prôner pour le dialogue était une chose, devenir le mal lui-même, c’en était une autre. Son nouveau père l’encouragea à suivre ses pulsions inhumaines, et au début il y cédait à contre cœur. Puis plus son état se stabilisait, plus il commença à refuser certaines choses au grand dam de son père. Ainsi une fois sevré, il s’enfuit rapidement, délaissant son géniteur qu’il haïssait sincèrement. Ses goûts dépravés le révulsait, et cela l’horrifiait d’autant plus qu’en être le témoin ne le laissait pas indifférent. Le médecin apprit plus tard que son père fut tué durant une bataille lointaine, et cela ne l’émut pas une seule seconde. Ramus tenta de retrouver sa femme et ses enfants, mais en vain : quand il arriva à l’endroit où ils vivaient auparavant, il ne trouva que des gravas calcinés. Ne pas retrouver leurs corps fut peut-être pire que de retrouver leurs cadavres dans les décombres fumants. Le médecin s’imagina alors les pires scenari, leur absence le consumant un peu plus chaque jour. Durant la fin de la guerre, il continua à soigner tout le monde sans distinction, mais le cœur n’y était plus. Chaque nouveau patient creusait un peu plus le fossé déjà profond entre lui et son humanité, d’autant plus quand il se rendit compte que les vampires gagnaient.

Alors à la fin de la guerre, Ramus tenta de retrouver une compagne ou un compagnon, de s’établir dans une ville avec son cabinet, mais rien ne tenait. Tout ce qu’il tentait d’entreprendre n’avait plus aucune saveur, et chaque vampire qu’il croisait le dégoûtait. Chaque esclave qu’il voyait lui rappelait l’injustice et l’horreur de la situation, mais aussi que peut-être, sa femme, ses enfants subissaient actuellement le même sort que ces malheureux. Ramus tenta de s’intégrer à la société pendant au moins une soixantaine d’années, puis finit par abandonner. Il se retira alors dans la forêt d’Aubéclat afin de vivre en ermite. Ainsi pendant une trentaine d’années il vécut en autarcie complète, ne rôdant autour des villages humains que pour ponctionner le minima de sang pour pouvoir survivre. Une fois sa faim assouvie, il retournait immédiatement dans la forêt, fuyant les relations sociales comme les humains fuyaient la peste. Peut-être les moments les plus heureux de sa vie.

Puis un jour, Ramus trouva une louve blessée dans une clairière. Son cas était tellement grave que le médecin dû revenir à la civilisation pendant un long laps de temps afin de lui trouver le traitement adéquat. A l'issue, il voulut la relâcher dans la forêt d’Aubéclat où il l’avait trouvée, mais elle revenait toujours vers lui, ne voulant plus le quitter. Alors à force de retrouvailles, Ramus finit par s’attacher à elle, et l’accepta à ses côtés. Ayant renoué avec ses homologues bipèdes durant ses recherches pour sauver sa nouvelle compagne, le médecin alterna régulièrement entre vie de nomade où il parcourait les différents villages Newind et Clirwelle et réclusion dans la forêt quand il saturait.

Durant cette période, le médecin se découvrit une nouvelle passion : la recherche. En effet, après avoir découvert une étrange épidémie au sein d’un élevage Newind, il décida d’isoler certains specimen pour étudier la prolifération de la maladie ainsi que le moyen de la soigner. Les vampires Newind décidèrent de tuer le troupeau avant d’avoir les résultats de l’expérience de Ramus, mais lui la mena jusqu'au bout de son côté. Ce nouvel exercice intellectuel le fascina, et le médecin commença à se poser des questions qu’il ne se posait plus depuis longtemps. Ramus affina ses méthodes de recherche, déclina plusieurs sortes d’approches afin d’étudier les problématiques qui fleurissaient dans son esprit. Ainsi il pu trouver des remèdes inédits à des maladies mortelles pour les esclaves et par la suite, il permit à plusieurs troupeaux de survivre. Le médecin étudia aussi la manière dont les mères élevaient leurs enfants, ou encore les meilleurs méthodes pour stériliser ses outils chirurgicaux. Mais il se posa aussi des questions plus sombres…

Par exemple, jusqu’à où pouvait-on supporter la douleur ? Comment réagissait un vampire à tel ou tel agent pathogène ? Mais les questions qui préoccupaient véritablement Ramus étaient celles auxquelles il trouvait les réponses les moins tangibles. D’où venait la magie des vampires? Et concrètement, qu’est ce qui faisait muter un humain en immortel ? C’est habité par ces deux questions obsédantes qu’il continuait sans relâche à créer de nouvelles méthodes de recherches, parfois très limites au niveau légales. Mais heureusement jusqu’à présent personne n’avait eu vent de ses expériences fort peu avouables.

Puis durant une de ses visites récentes dans un village Clirwelle où on le connaissait bien, on raconta à Ramus que la princesse Sibylle de Clirwelle était tombée dans un comas étrange suscité par son propre pouvoir. Le sang du médecin ne fit qu’un tour, et il monta immédiatement à la capitale pour en apprendre plus sur cette histoire. Une fois sur place, quelle ne fut pas sa déception quand il apprit que la princesse s'était finalement réveillée de son comas. De plus, elle avait quitté les terres connues pour partir étendre le territoire vampirique. Impossible donc de mettre sur pied les recherches qu'il avait imaginé pour elle. Cependant, il eu vent que le château cherchait un médecin. Il reprit alors contenance. Cela ne pouvait pas relever du hasard. Le Dr Heysen se présenta donc à Lucanus Clirwelle, espérant être embauché pour peut-être percer les mystères et résoudre les questions qui l’habitait, lui et ses semblables Clirwelle.


Crédits Avatar


Code:
Marcellus - Personnages Masculins → Ramus Heysen


Message par Ramus Heysen Ven 6 Jan - 16:46
La Chuchoteuse
La Chuchoteuse
Messages : 762
Date d'inscription : 26/05/2020

Félicitations !
Tu es désormais validé !

Bienvenue parmi les vampires !

Bonne chance dans cette nouvelle vie ! Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande d'esclave et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas!

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !

Message par La Chuchoteuse Mar 17 Jan - 11:47

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum