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Clémence Klavis - La douce chaleur du Nord [Finie]

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Invité

Clémence Klavis


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Informations



Prénoms : Clémence
Nom : Klavis
Age : 35 ans
Clan : Miranna
Groupe : Esclave
Métier : Gardienne des Monstres d'Arène
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Situation familiale : Sa famille
Familier : Coton, un porc-épic souvent caché mais toujours près d'elle


Pseudo : Imshael ici, Albar, Alexander et Taïga ailleurs
Comment avez vous connu le forum ? Eh bien tout a commencé il y a des milliards d'années, lorsqu'une jeune étoile destinée à être nommée « le Soleil » s'est formée...
Avez vous signé le règlement ? A contrecoeur
Un dernier mot ? Pas d'ici de nombreuses années j'espère, je suis trop jeune pour mourir ou devenir muet



Physique

Quand on s'imagine une fille du Nord, c'est probablement l'image d'une femme semblable à Clémence qui se dessine. Grande, belle, froide, aux cheveux et aux yeux clairs, le visage et le corps marqué... Elle est tout cela, et plus encore.

Haute d'un bon mètre soixante-quinze, on la repère généralement de loin même dans une foule, et cela sans même parler de ses cheveux. Toute sa vie, Clémence a eu les cheveux fins et clairs d'une enfant, ayant toujours été d'un blond qui tirait vers le blanc, jusqu'à ce qu'ils commencent définitivement à blanchir alors qu'elle était encore jeune, vers ses 30 ans. Aujourd'hui, à l'exception de quelques rares mèches encore rebelles et bien dissimulées, sa crinière est devenue couleur de neige, gardant encore l'éclat de la jeunesse au détriment de sa couleur.

Comme pour contraster ce vieillissement prématuré, son visage, lui, a su rester plutôt jeune, et il faut la regarder de très près pour voir sa peau commencer à se plier au coin de ses yeux et à la commissure de ses lèvres lorsqu'elle sourit. Son regard, lui, pétille comme jamais, changeant le bleu glacial de ses iris en deux petits astres chatoyants et rieurs.

Le reste de son corps porte les vestiges de ses quelques années dans l'arène en tant que combattante, et il ne s'agit pas que des muscles bien formés. Elle est marquée de plusieurs cicatrices, certaines jusque sur son visage mais dont elle s'accommode bien, les trouvant même plutôt jolies car bien définies et filiformes. Elle en a d'autres sur le corps, notamment une sur le ventre qui, elle, la complexe beaucoup plus, la marque d'un fléau d'arme qui avait arraché ses chairs il y a des années et qui y a laissé une empreinte éternelle et que Clémence trouve disgracieuse.

Elle n'aime pas la dévoiler et même si le climat des Monts ne l'empêchait de toute façon pas de s'habiller léger, c'est un choix qu'elle ne ferait pas, préférant cacher son ventre et ne le dévoilant que face à quelqu'un en qui elle peut avoir vraiment confiance. Le reste du temps, elle se contente donc de tenus pratiques, certaines aux allures d'armures vestiges de son passé de combattante et qui offrent une protection loin d'être inutile quand on s'occupe de monstres.


Psychée

Pour une humaine, Clémence est à la fois complexe et simple.

S'il fallait la résumer en quelques mots, il conviendrait de dire que le seul et unique but dans la vie de Clémence est tout bonnement de vivre du mieux qu'elle le peut. Elle n'a aucune autre ambition que celle-ci, de trouver le bonheur partout où elle le peut, sans lui courir après ni chercher à le retenir. Elle veut vivre, aimer, rire et pouvoir un jour fermer les yeux une toute dernière fois avec un sourire sur les lèvres, en se disant qu'elle ne regretterait rien, ou tout du moins que ses regrets n'auraient jamais pris le contrôle de sa vie.

Elle est une femme paisible, que les ardeurs de la vie au sein des Monts n'ont fait qu'adoucir au lieu de geler. Rares sont ceux qui ont jamais eu à l'entendre lever la voix, et plus rares encore sont ceux qui ont pu la voir réellement en colère. Elle reste bien sûr humaine et cela lui arrive, mais la rage n'a que peu d'emprise sur elle, glissant sur son cœur en n'y laissant que la peine, la tristesse, ou la déception. Clémence préférera toujours se taire plutôt que de hurler, et chuchoter plutôt que de pleurer.

Sa vie a beau se dérouler dans les Arènes, elle n'a aucun attrait pour la souffrance ou même la violence, bien loin de là. Elle sait se défendre et se battre, parce qu'il le faut bien dans les Monts, mais c'est par compassion qu'elle officie corps et âme auprès des Monstres des Arènes, ceux qui, à ses yeux, n'ont personne d'autre qu'elle. Elle déplore la violence, et c'est pour ça qu'il n'y a pas meilleur endroit pour elle : en s'occupant de ses petits protégés, elle peut apaiser un peu leur malheur, leur donner une douceur qu'ils n'ont pas demandé, maigre réconfort en ces lieux de mort.

Elle n'est pas une sauveuse, et elle le sait. Les créatures dont elle s'occupe finiront toutes par mourir, bien avant elle, et d'autres les remplaceront pour mourir à leur tour, et elle ne peut rien faire pour empêcher cela. Elle ne cherche de toute façon pas ce genre d'exploit retentissant : elle souhaite simplement rendre leur vie un peu plus douce avant qu'ils ne rencontrent leur destin, comme elle le fera elle-même un jour ou l'autre.

Parmi la longue liste des ambitions qu'elle ne possède pas, la vie éternelle en fait également partie. Clémence est humaine, et rien de plus ni rien de moins. Vivre pour toujours ne l'intéresse pas le moins du monde, sans que cela soit lié à un quelconque mépris ou défiance vis-à-vis des vampires. Elle ne s'estime tout simplement pas faite pour l'éternité : elle n'en veut pas, et souhaite mourir paisiblement et dignement quand le moment sera venu, quittant ce monde à son tour.

À la fois sage et simple, idéaliste et résignée, douce et froide, Clémence a tout d'une fille des Monts, à moins qu'elle ne soit une femme qui a pris tout ce que les montagnes pouvaient lui offrir, sauf peut-être les avalanches.


Pouvoir

Aucun


Histoire

On dit souvent que la vie dans les Monts est plus dure que partout ailleurs dans le Haut Levant, et que seuls les plus forts y survivent. Si la première partie est vraie, la seconde ne l'est pas tant, et c'est une bonne chose car sans cela, Clémence n'aurait jamais vécu assez longtemps pour que son histoire ne soit digne d'être racontée, si elle pouvait l'être un jour.

Partout dans le Royaume, on utilise les humains pour toutes les tâches ingrates. Ceux de la Plaine ou de la Couronne s'en sortent peut-être le mieux, car il ne s'agit guère que de travaux, d'entretien ou de paysannerie, tandis que ceux du Cap ou de la Forêt font parfois face à quelques danger plus sauvage ou plus marin... Les esclaves de Pestenoire était peut-être à plaindre plus que les autres, mais ceux des Monts, eux, avait une utilité toute trouvée : les mines.

Si la Princesse de Miranna ne courait pas après les richesses comme on racontait que pouvaient les faire les autres Princes et Princesses, les mines du Nord grouillaient pourtant d'activité : on y extrait tout, des minerais précieux à la pierre la plus dure et la plus froide, le tout dans des conditions passablement rudes. Parmi les infortunés assignés à cette tâche se trouvaient les parents de Clémence. Sa mère était une femme d'une beauté rare qui racontait à qui voulait l'entendre qu'elle avait été une Favorite envoyée ici par une rivale sournoise qui voulait l'éloigner de son Maître. Après quelques mois dans les Mines, cependant, même ses traits ne pouvaient plus accréditer son histoire, et après quelques années, elle était tombée amoureuse d'un homme simple, bien loin de ses rêves de grandeur et avec qui elle avait eu, à défaut de la vie éternelle, une enfant.

Clémence.

Pendant un temps, cela suffit à leur bonheur. La mine était vaste, et les vampires voyaient sur le long terme : des enfants, il y en avaient toujours plus qui naissaient, et qui deviendraient mineurs à leur tour, ou qui seraient vendus s'ils étaient un peu plus beaux ou habiles que les autres. Les premières années de la vie de la jeune humaine furent simples, et si elle fut rapidement mise au travail, ses parents purent malgré tout la voir et lui donner, entre deux coups de pioche, un semblant d'éducation.

Mais si l'on pouvait qualifier cette époque d'heureuse en la regardant de loin et en fronçant les sourcils, ce n'était pas le cas des années qui allaient suivre. Ce fut d'abord sa mère qui disparut, emportée par un éboulement, avant que Clémence ne tombe malade le même hiver. Son père, sans doute motivé par le désespoir, travailla plus dur que jamais pour satisfaire les contremaîtres et s'attirer leurs faveurs. Il y parvint, quelques semaines. Avant de se tuer à la tâche.

Là, si les rumeurs du Nord étaient vraies, Clémence aurait dû mourir. Mais face à l'adversité de la mine et du froid, les esclaves se serraient les coudes, et lorsque les contremaîtres décidèrent d'abandonner cette enfant d'à peine 8 ans à son sort, il y eut des humains qui prirent le relais, sacrifiant leurs bonnes grâce pour lui acquérir de quoi se soigner. Tantôt on avait déjà perdu un parent, tantôt un enfant, tantôt on avait soi-même était sauvé ainsi par le passé... La petite communauté s'était déjà organisée autour de nombreux orphelins, et Clémence en fut une de plus, sauvée par la générosité de ceux qui n'avaient plus d'espoir.

Alors elle survécut, et elle grandit, jusqu'à devenir une belle jeune fille qui attirait les regards, et qui valait le coup d'être vendue. On l'arracha à ce semblant de famille qui l'avait protégée, pour la plus grande joie de celle-ci qui ne voulait que la voir quitter la mine et découvrir une vie qui leur avait été refusée. Clémence avait depuis longtemps appris à ne plus pleurer, mais dans le chariot qui l'emporta loin de sa prison de glace, elle ne put s'empêcher de laisser couler quelques larmes.

On envisagea un temps d'en faire l'esclave sexuelle d'un Duc qui n'avait pas l'air bien méchant, mais ce fut un autre qui jeta son dévolu sur elle, voyant, au delà de sa beauté, la force de ses bras et de son dos, forgée au fur et à mesure des années. C'était le Maître des Arènes de l'époque, un des enfants de la Princesse elle-même, homme dur comme la roche de Fort Noir mais qui avait le mérite de ne trouver aucun attrait à la cruauté. Il fit de Clémence une combattante, lui apprenant à rendre les coups qu'elle avait subi pendant toutes ces années.

Elle n'appréciait pas ça. Elle se battait parce qu'il le fallait bien, par pur instinct de survie, et à de bien nombreuses reprises, elle avait même tué, mais n'y avait jamais trouvé le moindre plaisir, pas même un sentiment d'accomplissement. Plus elle infligeait de souffrance, plus il lui semblait qu'elle se fourvoyait, et elle en était arrivée à la conclusion que cela n'en valait tout simplement plus la peine, qu'elle avait assez causé de souffrances pour une vie. Comble de l'ironie, c'est lorsqu'elle décida de ne plus se battre que son Maître mourut, défié et vaincu dans cette même arène. Là, la situation fut compliquée.

Elle faisait plus ou moins partie des meubles désormais, et lorsqu'un nouveau Maître des Arènes fut nommé, on ne vint pas chercher Clémence pour lui assigner un nouveau rôle, ni pour prêter un nouveau serment. Elle eut bien un nouveau collier, mais il n'avait pas de nom dessus, simplement le symbole des Arènes. Sans doute leur appartenait-elle désormais.

Bien décidée à saisir sa chance et à ne pas se laisser mourir, elle s'arrangea pour ne plus remonter en tant que combattante, et pour rester dans un ombre qui lui plaisait bien plus : celle qui lui rappelait sa mine, celle qui lui rappelait ses démunis. D'abord les gladiateurs, puis elle se tourna vers ceux qui n'avaient vraiment rien : les Monstres. Et grand bien lui en prit, car cela fait désormais plus de 10 ans qu'elle a choisi de veiller sur eux, et qu'elle ne le regrette pas un seul instant.

Elle se sent utile, et elle se dit qu'elle leur apporte ce que le Nord a de plus beau : un peu de chaleur dans l'obscurité.


Crédits Avatar


Code:
Ciri Redesign by Klaus Wittmann – Ciri (The Witcher 3) → Clémence Klavis


Message par Invité Jeu 26 Sep - 18:46
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Invité

Fiche terminée !
Message par Invité Sam 28 Sep - 19:32
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des esclaves !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande de maître et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Mar 1 Oct - 9:44
La Chuchoteuse
La Chuchoteuse
Messages : 762
Date d'inscription : 26/05/2020

Fiche archivée, demande du joueur
Message par La Chuchoteuse Mar 15 Juin - 23:52
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