Physique

Ah! Vous désirez savoir à quoi elle ressemble? Son allure? Sa façon de s’habiller ? Et bien allons-y vu que tout le monde semble attendre cet événement.

On va commencer par sa silhouette, il faut bien dire qu’elle est plutôt gracieuse, fine et élancée. Ses jambes dénudées révèlent une musculature bien dessinée sans paraître grossière ou même vulgaire. Puis l’on remonte doucement sur ses hanches qui suivent les courbes généreuses de son corps, ses fesses sont bien rondes et fermes, son ventre plat où apparaît le délicat tracé de ses abdominaux, porte une ouverture sur son petit nombril. Pour comprendre tout ces atouts féminin il faut remonter encore un peu sur ses seins, elle a une poitrine à croquer, des seins comme deux poires arrivées ici… il ne sont pas très gros et ne sont pas une contrainte au combat. Elle aime le fait qu’ils soient petits et fermes, bien contournés et agréable à regarder. Son cou, ses bras qu’une peau pâle recouvre comme la totalité de son corps d’ailleurs, sont ornés de divers bijoux, des bracelets, colliers, et bien d’autres fantaisies. Jusqu’au bout de ses ongles elle est très soignée et prête énormément d’attention à son apparence, bien qu’être une combattante hors paire donne parfois du fil à retorde à une femme pour se faire belle, Aïlis parvient aisément à s’en tirer dans les deux domaines.

Je ne vous ai pas encore parlé de son visage, ce visage si blême et fade, semble s’illuminer dès qu’elle ouvre ses yeux. Ses yeux sont deux fleurs au milieu d’un champs, ils sont bleu-gris comme deux flocons sombres. Leur pupille centrale est comme une perle luisante déposée là, le contour de l’iris et lui même noir et souligne avec intensité le gris nuageux de ses yeux. Quand la colère l'envahit, que son instinct primaire reprend ses droits ses yeux deviennent le miroir de ses émotions et cela se voit. Son nez est discret légèrement remonté en trompette, mais ne porte aucun signe distinctif. Il tombe sur ses lèvres, douce et légères, leur galbe est souple et pulpeux. Ce sont des lèvres fermes qui renferment une langue de vipère bien aiguisée et pourtant ses lèvres paraissent si innocentes, comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences.

J’aime ses joues subtilement rosées en dessous des yeux, puis la petite fossette qui s’y creuse quand elle sourit, aussi rare soit-il… Elle sourit mais la plupart du temps ce ne sont que des sarcasmes. Son visage est angélique pour une demoiselle, mais son regard sait se faire sombre et mauvais avec l’aide de deux sourcils fin et d’un noir de geai. Ses longs cheveux d’un brun foncé, presque noir, sont égayés de longues mèches qui tombent sur sa nuque et le long de son dos avec désordre. Ils sont lisse et soyeux, souple et fin, de-ci de-là il y a quelques mèches rebelles parsemées en plumage.
 
Ce qu’il faut retenir c’est que c’est une jeune femme agréable à regarder mais ce n’est pas une perfection non plus et loin de là. Elle à l'air si fragile, une poupée de porcelaine...
Sa tenue vestimentaire est de haute facture, très perfectionniste Aïlis met un point d'honneur sur sa prestance et sa présence. Des robes, des bustiers, des tenues de combat en cuir, elle possède toute une garde robe diverses et variées, selon l'occasion ou ses envies elle adaptera sa tenue. Mais au final cela n'est guère utile, une telle description... Car elle aime surprendre. Il faut toujours qu'elle se fasse remarquer. Les rares personnes à avoir vu son apparence au naturel ne démentiront pas sa beauté légendaire.
Voilà comment regarder d’un nouvel œil cette charmante créature aux airs et traits bel et bien démoniaque.

Psychée

Comment pourrais-je vous décrire cette demoiselle devenue femme qui n’est vraiment pas ordinaire? Je vais commencer par sa subtile personnalité qui en marquera sûrement plus d’un, faites moi confiance! C’est l’heure d’entrer dans la danse fatale du jeu…

Au premier abord Aïlis est d'une douceur incomparable, presque accueillante, l'on peut lire une réelle joie sur son visage, lire dans ses yeux qu'elle est heureuse et pourtant il y a cet air malicieux qui ne rassure pas tant que cela. C'est une demoiselle qui sait ce qu'elle veut et qui l'obtient toujours...

Lis, c'est un tempérament très électrique, une jeune vampire très forte intérieurement qui agit comme bon lui semble, souvent bornée et très têtue elle déteste reconnaître qu'elle a tord. C’est une femme de caractère qui sait s’affirmer et s’imposer qu’importe qui se dressera en face de son chemin, elle ne fera pas de détour. Néanmoins elle n'est pas insociable bien au contraire, bien qu'elle ai du mal à se confier, elle sait écouter, pour sa part elle restera toujours une demoiselle mystérieuse et arrogante sauf peut-être pour quelques rares personnes. Elle n'est sympathique si l'on peut dire ainsi, qu'avec ceux qu'elle côtoie et principalement ceux qu’elle choisira pour ami. Sa haine et sa passion l'anime sans cesse, c'est un vrai concentré d'énergie qui rarement se stoppe, s'en est fatigant pour ceux qui l'entour mais on l'apprécie comme tel. Elle est particulièrement impulsive mais sachez qu’elle n’agit point sans réfléchir seulement elle fait preuve d’une vivacité d’esprit peu commune. Il faut toujours se méfier de ce que l’on ne peut voir!

Sous ses faux airs angélique, calme, douce, sympathique et accueillante. Et bien oui ça lui arrive mais souvent cela cachera une motivation beaucoup moins agréable. Elle tire donc profit de ses capacités de mensonge, elle aime tromper les gens, paraître pour ce qu'elle n'est pas. Il faut toujours se méfier de l'inconnue qui rode!

Néanmoins, elle porte de l’affection à son animale et elle n’est pas dénuée de sentiment. Comme tout être vivant elle renferme en sa poitrine un cœur bien protéger certes mais pas intouchable, même si celui-ci est inerte depuis longtemps. Personne n’a encore jamais trouver la mélodie qui l’enchanterait, celle de l’amour.

Que pourrais-je dire de plus sur ce petit bout de femme… Qu’elle est très pensive, elle s’évade, son esprit vagabonde et elle mène chacune de ses pensées à une profonde réflexion. Cela causant des absences involontaires à la charmante et démoniaque demoiselle.

Elle peut se révéler totalement démoniaque, d'une rancœur extrême il est déconseiller de lui faire du mal ou de s'en prendre à elle ou ceux qu'elle aime. Elle éprouve un malin plaisir à constater la souffrance chez ses victimes, ayant aussi des tendances sadiques, il vaut mieux s'en faire une amie plutôt qu'une ennemie. Bien que pour elle un combat engage l'honneur et elle tien au sien, ses valeurs lui sont chères et elle compte les respecter qu’elle qu’en soit le prix. Une vampire qui vise les hauteurs, la perfection... malgré un caractère houleux.

C'est une fille droite et de confiance, intransigeante, forte mentalement, sincère et vrai, avec ceux qui le méritent. Elle est très agile, relativement curieuse et méfiante, elle possède une faculté d'analyse indéniable et très utile en stratégie. Elle fait de son excentricité une force et de son côté joueuse un art dans la manipulation. Vous avez à faire à une jeune femme parfaitement cruelle, droite et vigilante, elle est bien plus sage et avisée que les autres de son âge, comme si elle protégeait quelque chose de sacré... Lis est une femme particulière, au caractère enflammé, elle saura servir pour ceux qui sont chères à son cœur et saura pour qui mourir... 

Pouvoir

Elle a hérité d'un don lié à la caractéristique de son clan, les Miranna. Tout comme l'homme qui a fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui, une vampire.
La tempête la caractérise assez bien, pourtant l'élément qui s'est accroché à elle peut se montrer aussi doux que violent. L'air.

Sa manière d'en user est très particulière, elle est capable d'aspirer l'air. C'est un atout de pouvoir asphyxier quelqu'un en l'embrassant, une mort sans trace ou presque... un bon moyen de torture en le dosant.

Quand elle use de son don, Aïlis s'épuise. Elle ne peut pas en abuser au risque de se voir s’étouffer elle même par manque d'air. Elle apparaît essoufflée après une lourde utilisation.

Histoire

Un vieux livre poussiéreux... Sa main passe sur la couverture, L'inscription révélée laisse le cœur en suspens: "Secret éphémère". L'ouvrant, une brise cinglante gifle le visage de celui qui ose. Sur la page vierge... une goute de sang tombe, la tache. Elle disparaît pour laisser apparaître l'histoire en lettre de sang. Bonne lecture, vous n'en sortirez pas vivant.... Un rire démoniaque vous frappant, l'inconscient vous gagne.

PARTIE I : Le Lys est blanc.

Vingt huit ans de ma vie à conter, je ne vois pas l'intérêt de remplir toutes ses pages vierges. Si quelqu'un désirait savoir quelque chose sur moi, qu'il vienne me le demander ? Qui suis-je ?
Aïlis Tormens, née de l'union d'un homme et d'une femme. Comment ? En s'accouplant pardi. Un peu de sérieux dans tout ceci ?
Comme dis plus haut Aïlis est née sous le signe de l'amour, l'union de deux humains, pour donner naissance à une petite fille ravissante. Bien que sa chance ne réside pas dans sa nature humaine, elle bénéficie tout de même d'une bonne étoile.

La vie pour le peuple asservit n'est que calvaire, l'espoir réside dans le simple fait de quérir le Graal et d'être nommé favori par un de ces prétentieux vampires. Ses parents ont décidé de s'aimer malgré le fait d'être des sujets, le fruit de leur amour c'est moi. Née lors d'une longue journée d'hiver de l'an 542 au cœur du territoire des Miranna. J'ai grandi dans la pauvreté. Dans la peur aussi. Il fallait travailler et survivre dès lors que notre orteil touchait le sol. J'ai bénéficié de la protection d'un vampire durant mes jeunes années, ma mère m'ayant obtenu pour répondre au besoin de la pérennité des buveurs de sang. Ce serait dommage qu'ils n'aient plus rien à se mettre sous la dent. Nul doute qu'elle me désirait, qu'elle m'aimait et me chérissait... Néanmoins, pas assez à mes yeux quand je fus en âge de comprendre. Comment un parent pouvait-il accepter de faire subir à son enfant les tortures quotidiennes qu'il vivait lui même ? Être littéralement du bétail.  Ah ! Oui, cette histoire de favoris. Je me souviens vaguement de cette période où je ne traînais pas dans la boue. Peut-être par ce qu'être le pantin futur d'un abjecte vampire ne m’intéresse pas.

Les clans se cherchent et se chamaillent. Un jeu de trône entre sourire et révérence. Le pouvoir fait partie de notre histoire. Je l'ai bien comprit. Rapidement, très jeune j'ai dû travailler. Les tâches de récoltes dans les monts de Mistrallin. Grimper, porter, repérer... autant de capacités qui m'ont permises de devenir plus endurante et agile, mais aussi plus forte et vive. Dans mon petit village, je défiais les garçons pour ne pas me laisser marcher sur les pieds. J'ai remarqué que les femmes avaient toujours les tâches les plus ingrates et rudes. Je refusais de me plier à cette société qui plaçait l'homme sur un piédestal, un bon point pour les Vampires et le règne Matriarcale.

Ma vie se résumait à me battre pour survivre et subsister. Rusée, je commençais à jouer de mes charmes lors de mon adolescence. Si être une femme peut se révéler être un atout alors pourquoi je n'en profiterait pas ? Mais, je ne possédait pas que ça. J'avais décidé de savoir me battre comme un homme. Savoir user de mes poings et de mon jeu de jambe. Je voulais être autonome. Les territoires se livraient des guerres régulièrement et les hommes se tiraient dans les pattes dans le but ultime d'être élevé au rang de favoris, même si le choix revenait au prince. La déchéance du monde. Haut-levant, comme dans d'autres royaumes, se jouait du peuple pour subsister dans le luxe et l’opulence. Oui. Au détriment d'un autre peuple qui se faisait ronger par la nécrose du vice. Sucer jusqu'à la moelle. C'est là que la scission avec mes parents a commencé, vous comprenez je leur faisais honte. Je ne respectais pas les règles, ni la bienséance pour satisfaire l'orgueil des créatures de la nuit. A quoi bon se torturer pour un mirage ? Je préférais les coups de fouets, les sévices corporelles et autres tortures que de plier l'échine. Ma rage de vivre et d'exister, c'est tout ce qui m'enflammait.

Incontrôlable. Trop dérangeante. Un nuisible dans la ruche. Une affaire commune, quand la branche est pourrie il faut la couper avant qu'elle ne vous tombe dessus. Certes, mais je m'étais entraînée presque toute ma vie. L'on ne peut pas attendre de ses parents un amour inconditionnel dès lors où leur vie est régie par un monstre leur faisant miroiter un titre toute leur misérable vie. Je possédais deux options : fuir ou me battre pour ma vie.


PARTIE II : Le Lys entaché de sang

Une nuit macabre à la lueur de mes seize ans. Je ne sais pas ce qu'il m'est passé par la tête, un cauchemar... La réponse n'est pas simple, le meurtre par contre il l'était au creux de mon oreiller.

Je n'ai pas eu à me battre, juste à attendre qu'ils s'endorment. Me lever. Marcher à pas de velours pour venir plaquer ma main sur la bouche de mon père. Juste le temps qu'il écarquille les yeux pour me voir et comprendre... Trop tard ! Je venais de lui trancher la gorge. Un délicieux sourire naquit sur mes lèvres. Effrayant pour ma mère. Je devais avoir une conversation avec elle et je lui ai tranché la langue. Juste le temps pour moi d'avoir toute son attention. Devant ses pupilles horrifiées et ses sanglots silencieux, je demeurais implacable. Je lui exprimais le pourquoi de mon geste, la raison qui m'a poussé à être autre chose qu'un mouton rêvant d'une promesse pour m'élever. Non, j'ai décidé d'être ma propre maîtresse. Eux étant un obstacle à mon ambition, je me devais de leur infliger la même souffrance que je ressentais chaque jour en grandissant dans ce monde. Je leur en voulais, assez pour n'avoir aucun regret en les tuant. Les mains rouges, le corps taché de sang... J'ai hurlé. Dans un sursaut je me suis réveillée. En sueur. haletante. Ce n'était qu'un mauvais rêve, le désir profond de mon subconscient. Mon regard se fixa sur la pleine lune, avant de se refermer.

Au petit matin, une terrible nouvelle nous a été annoncé. La mort de notre maître. N'étant que des sujets, il fût difficile d'en apprendre plus sur les circonstances. moi, j'y vit ma chance. Une chance d'être remise sur le marcher et achetée. Je n'éprouvais que de la répugnance de l'ancien maître, j'espérais pouvoir saisir ma chance et attirer un vampire de meilleur qualité. On nous avait bien préparé, nettoyé et habillé. Mon souhait était d'être achetée par un maître différent de celui de mes parents. Plusieurs Vampires passèrent, puis se fût son tour. Son regard croisa le mien. J'esquissais alors un sourire. Il m'acheta, une aubaine. Bien que j'en ignore les raisons, j'éprouvais enfin le sentiment d'être à ma place.

Ma vie à son service débuta alors et je ne rechignais pas à la tâche quand s'était pour satisfaire mon Maître Noah Smith. Docile. Exemplaire. J'étais libre de la haine que je nourrissais envers mes parents et libre d'être celle que je voulais être. Servante, je suivais mon Maître dans ses déplacements et ses activités, quatre ans se sont écoulés quand il fit la demande au Prince de notre clan de me nommer favorite. La requête fût accepter, des tâches plus importante me furent confier. Je savais où me mettre, comment agir, comment sourire. Discrète tout en étant attentive, je parvenais à anticiper ses demandes.

Lors d'une sortie pour chasser le gibier, j'accompagnais mon Maître et d'autres de ses amis. Ce dernier manqua de se faire charger par un sanglier, que je lui fis éviter de justesse en le plaquant au sol. Certes, ce n'était pas véritablement nécessaire. Il aurait très bien pu s'en accommoder tout seul avec sa nature de Vampire, mais mon instinct avait voulu le protéger. Après m'être relevée en levant mes mains pour signifier que je n'agressais point Noah, il fût reconnu que j'apportais plus d'importance à la vie de mon maître qu'à la mienne.

Comme pour me contredire, me prouver le contraire le destin me frappa. J'avais un peu plus de vingt-deux ans, quand c'est arrivé. L'histoire avait été raconté lors de mondanités et le Prince du en avoir vent, quand il fût temps de nommer les favoris élu pour être transformé, mon nom raisonna. Moi, qui ne voulait en rien leur ressembler, j'avais bien comprit que pour se faire une place, il fallait devenir comme eux. Mon maître obtint donc le droit de faire de moi son enfant, un honneur.

Sa peau glacée au contact de la mienne me fit tressaillir. bien que je sois habituée à leur sang froid. Ses crocs transpercèrent ma chair dans une étreinte à la fois douce et douloureuse. Il se nourrissait de moi. Mon énergie s'enfuyait à chacune de ses gorgées, jusqu'à me conduire aux portes de la mort. Une porte qu'il avait décidé de fermer pour moi en me faisant don de son sang. Le liquide pourpre s'infiltra dans ma gorge pour me transformer. Douloureuse nuit.

Les heures, les jours et mois qui suivirent furent éreintant pour moi, comme pour mon parent, Noah. Instable. Capricieuse. Assoiffée. Apprivoiser mes nouveaux sens, comme ma nouvelle condition ne fut pas une mince affaire. Je refoulais mes instincts, mes envies de sang et ce jusqu'à devoir être soulagée et sevrée par son sang à lui. Un délice. Il s'écoula plus d'un an à ses côtés, sous sa responsabilité. La proximité avec lui, mes nouvelles capacités et ma nouvelle condition m'offrant un nouveau regard sur ma vie. Sur le monde. Il m'avait offert l'occasion d'être moi, d'être ambitieuse et la possibilité de devenir quelqu'un en me proposant comme favorite auprès du prince.

Proche de mon parent, je le suis. Je le respecte et l'admire, même si je ne lui dit pas et que je passe mon temps à lui montrer que je suis forte. Une valeur sûre. Je sais qu'il m'a choisi pour des raisons qui lui son propre, mais elles me conviennent. Il a vu en moi ce que mes parents, jamais, n'ont su voir.

Aujourd'hui, cela fait fait déjà six ans que j'évolue en tant que vampire. Je n'ai pas changé. J'aspire toujours à devenir quelqu'un d'important et respecté. Je profite allègrement de mes privilèges et de l'oisiveté qui s'offre à moi. Impertinente et imperturbable, j'occasionne encore quelques sueurs froides à Noah. Ma façon très personnelle de lui montrer que je tiens à lui.