De l'aube au crépuscule ~Belladona Loriens

Belladona Loriens
Belladona Loriens
Shil
Messages : 122
Date d'inscription : 19/03/2021

Belledona Loriens


« Jour tu es mien, nuit tu es proie »


Informations



Prénoms : Belladona
Nom : Loriens
Age : 114 ans - transformé pour ses 28 ans
Clan : Shil
Groupe : Vampire
Métier : Armurière / Assassin
Orientation sexuelle : Demisexuelle
Situation familiale : L'amour de ma vie, ce traitre, mon frère, transformé également
Familier : Testament une panthère noir mâle


Pseudo : Uxianne
Comment avez vous connu le forum ? Ca n'a pas changé
Avez vous signé le règlement ? Oui
Un dernier mot ?non toujours pas



Physique

Je suis de grande taille pour une femme, plus grande que certain homme même. Nous avions la peau laiteuse enfant et n'avons que très peu prit le soleil, aussi ça n'a pas changé. Nous avions les cheveux long et blond, un choc psychologie les dépigmenta définitivement. J'en prends soin, je n'ai jamais changé de coupe depuis. Nous avions les yeux bleu, ma transformation les a éclaircie au point de ne pas trop savoir s'ils sont argenté ou d'un bleu très pâle. Nous avions toujours eu les traits fins, c'est toujours le cas aujourd'hui, si bien qu'on me trouve un peu plus jeune que mon âge de transformation. Je n'ai pas une poitrine proéminente et de toute façon je fais en sorte de la bander tout les jours pour être plus libre de mes mouvements.

J'ai affiné mes réflexes au point de combler ma faible force en combat. Nous étions trop souvent voutées, rasant les murs mais depuis que cet évènement, je ne me laisse plus faire. J'ai le port droit, je ne baisse plus la tête, il m'arrive même de regarder de haut, vampires et humains. On me dit que je suis froide, mais je n'ai juste que peu d’intérêt pour les autres. Nous nous parlons par moment et le gens nous regarde alors étrangement. Je les comprends, je sais qu'elle n'est plu mais elle est là. Je suis plutôt silencieuse à agir dans l'ombre. Mon visage est souvent neutre bien qu'elle fasse des efforts dans la boutique.

Nous aimions les jolies choses, mais la rudesse de la vie nous a balayé. Je ne fais plus dans la fioriture sauf pour son bijou, Je porte toujours les mêmes vêtements. Je ne m'embête pas à réfléchir à comment m'habiller. Toujours un pantalon sombre et prêt du corps, une chemise à jabot, un veston, un manteau et mes accessoires. Dès fois j'agrémente de sa cape, tâchée de son sang. D'ailleurs, la chemise à jabot que je porte le plus souvent, est tâché de son sang elle aussi, je ne me résous pas m'en séparer, tout comme son bijou.  

Je suppose que je peux inspirer la peur ou la méfiance pour les personnes qui ne me connaissent pas. Je n'ai pas le temps de me montrer autrement pour le moment.


Psychée

Nous étions heureuse avant. Nous étions une âme dans deux corps. Deux cœurs battant à l'unisson. Aconit était moi, et j'étais elle. Nous étions des enfants joyeuses, partageant tout. Nous n'avions pas besoin de nous parler pour nous comprendre. J'étais la dominante. Elle me manque. Je sais que c'est mon esprit malade qui me l'a fait voir et entendre, parce que j'en ai besoin. Je me sens cassée malgré cette pseudo présence. Il me manque quelques choses.

Il était tout pour nous. Père, mère, frère, tuteur... Je l'admirais, je l'aimais d'un amour pure et sincère. Je savais que ce n'était pas normale mais il était différent des autres, personne ne lui arrivait à la cheville. Quand il me frôlait quand nous faisions nos tâches ensemble, mon corps réagissait... J'avais déjà le sentiment qu'il était l'Alpha et moi l'Oméga.

Puis il est parti. Nous étions triste. Nous avons continué. J'ai repris son rôle. Je voulais le rendre fier. Il ne revenait pas. Nous l'avions vu dans l'arène, nous savions qu'il pouvait avoir une meilleure vie. Nous étions heureuse et triste à la fois, enfin moi.

Un jour il était là, nous étions heureuse, je voulais me confesser, nous voulions lui faire une fête... Je le haïs autant que je l'aime aujourd'hui. Je veux le voir souffrir pour chaque seconde de torture qu'il lui a infligée. Il nous a séparé à tout jamais. Je veux nous venger. Il a fait de moi ce que je suis. Je ne pense qu'à ça. A comment me rendre plus forte.

Je ne m'attache à personne, je me méfie, je les déteste tous. Elle veut lui pardonner, je réclame justice. Elle veut que nous soyons heureuses à nouveau, je veux qu'il plonge dans le désespoir pour que je puisse le sauver, qu'il ne voit plus que moi et personne d'autre. Elle espère que je trouve l'amour ailleurs, je n'ai besoin de personne d'autre que lui.

Nous ne supportons pas qu'il vive normalement. Elle est plus sociable que moi, c'est elle qui s'occupe de la boutique. A chaque fois que ma lame ôte une vie, je me sens un peu plus proche d'elle, comme si le dernier souffle de ces personnes la faisait revenir quelques instant.


Pouvoir

Emprise onirique
Je peux dans une certaine mesure enfermer psychiquement une cible que je vois, dans un monde onirique qui est le parfait reflet de la réalité et qui dure une dizaine de minutes. Je ne peux hélas pas modifier la réalité qu'il perçoit mais tout réagit de manière nature si ce n'est qu'il ne peux avoir d'interaction réelle dans la réalité. De manière générale que peut l'utiliser deux fois de suite ou sur deux personnes distincte sans conséquence sur ma santé, et il me faut une journée pour me remettre entièrement. Si je dépasse cette limite alors que commence a avoir des saignement de nez, des maux de tête, une perte temporaire de la vue, des palpitations cardiaques... Il m'est même arrivé d'avoir une hémorragie cérébral aussi je pense que je pousse vraiment trop je peux en mourir.


Histoire

Nous ne savons pas comment mais nos parents n'étaient plu. Il n'y avait que nous, notre frère et les autres. Enfin ce sont les souvenirs que nous avions. Peut-être en sait-il plus à ce sujet. Nous n’avions pas grand-chose mais nous étions heureuses d’être à ses côtés. Il faisait tout mieux que tout le monde, il était aussi deux fois plus fatigué que les autres mais nous faisions de notre mieux pour l’aider. Je n’ai jamais aimé où nous vivions, contrairement à Aconit. Elle pensait Que toute cette neige était profitable. Je n’y voyais que des problèmes. Nous ne comprenions pas pourquoi notre frère semblait si exténué, pourquoi il faisait tan de cauchemars… Jusqu’à ce qu’on sorte de l’enfance.

Les jeux macabres que notre maitre nous faisait subir avait longtemps été tempéré par notre frère. C’était à présent à notre tour d’y participer. Enfin non, il nous a toujours remplacé mais nous devions regarder… Je ne comprends toujours pas la logique des vampires concernant la maltraitance des humains.  Nous n’étions pas fortes, nous n’étions pas agiles, nous n’avions pas d’endurance… Nous avons dû nous montrer persévérante dans l’attente du jour ou il ne pourrait plus le faire. Nous n’étions pas trop appréciés des autres étant donné notre statut particulier. Mais il était notre univers, il faisait la pluie et le beau temps. Aconit me laissait lui apporter les soins et je me délectais de ses moments où je pouvais lui être utile et le toucher de mes doigts. Je pensais l’aime comme un frère à cette époque.

Nous n’étions au courant de rien, aussi quand la révolte eu lieu, nous n’avions pas quitté nos chambres. Mais depuis lors, il n’était plus aussi souvent avec nous. J’ai commencé à prendre la relève peu à peu pour la protéger. Et puis un jour il n’est jamais revenu. Il nous manquait terriblement, je me suis sentir mourir par son absence plus d’une fois. En même temps notre maitre ne pouvait plus « assurer notre protection » depuis que notre frère était parti. Un autre maitre arriva, pour l’aider à soutenir ce village perdu ou les habitants se révoltaient. Il avait les yeux libidineux. Je crois que s’il avait pu m’ordonner de le faire avant ma majorité, sans qu’il n’ait de conséquence, il l’aurait fait… A peine nos bougies soufflés que j’ai dû ouvrir mes cuisses pour protéger Aconit. J’ai dû faire des choses horribles pour qu’ils vivent en paix. Et toujours ces promesses sournoises à mon oreille... « Si tu ne le fais pas, il ne deviendra pas un vampire », « Si ce n’est pas toi, ça sera elle, vous avez le même visage », « Ne le fait pas et condamne ta sœur à une mort certaine » … Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour eux.

Il nous emmenait le voir lors de ses tournois, pour me montrer qu’il était toujours vivant, que j’avais bien fait mon « travail ». Même si la distance nous séparait, mon cœur battait toujours pour lui, j’avais mal pour lui, je m’exaltais que pour lui. J’espérais qu’il gagne à chaque fois. Une année le maitre avait prévu une autre surprise cette fois-ci. Il voulait que je lui sois encore plus utile… Loin de ma sœur, je passais un entrainement intensif qui me poussa aux portes de la mort plus d’une fois. Ce fut une année longue et difficile. J’avais déjà beaucoup changé. A peine sortie de cet enfer, je commençais les mêmes combats dans l’arène des favoris mais pas de mon clan d'origine. Je m’en suis plutôt bien sortie. Aussi quand nous sommes rentrés, mes cours intensifs s’accéléraient encore. Je ne sais pas ce que le mettre avait en tête, mais je n’étais plus que plaies et fatigue. Mais j’eu également se sésame, j’étais devenu un favori. Nous nous inquiétons que je parte comme lui mais non.

Et un jour cette année-là, devant tous, on lui annonça qu’il pouvait devenir l’un des leurs. Nous étions si fières et admiratives. Il avait réussi.  Quelques jours plus tard au village, il était là. Plus beau que jamais, plus fort… Nous n’avons pas pu nous retenir et sommes aller le prendre dans notre bras. Ils nous avaient tellement manqué… Aconit voulait faire une fête de retrouvaille. Elle s’était détachée pour aller dans la réserve. Je voulais lui dire ce que j’avais sur le cœur, lui dire qu’il était le seul homme qui faisait battre mon cœur quand je reçu un coup dans l’estomac de sa part Me faisant tomber au sol. Je manquais de vomir de peu sous l’impact. Ce coup d’une rare violence m’immobilisa entièrement, coupant ma respiration.  Il se jeta sur elle, lui plantant ses crocs nouvellement acquis. Il la mordait à répétition, suçant son sang. Aconit souffrait, elle le suppliait d’arrêter, qu’il en prenait trop. J’ai essayé de me relever, mais une force invisible m’a contrainte à gire au sol et observer en le suppliant d’arrêter, de me prendre à sa place. J’étais jalouse et horrifié. Je ne le reconnaissais pas. Je n’oublierai jamais le regard qu’Aconit m’a lancé, ne comprenant pas pourquoi je n’intervenais pas. Quand enfin je pu me relever, je me jetais sur elle pour lui arracher mais il était trop tard. Ma belle Aconit, ma moitié, mon âme, vacillait. Il y avait trop de morsure, trop de sang s’écoulait. J’étais là jusqu’à la fin, pleurant de tout mon cœur.  

Elle n’était plus et lui était parti comme il était venu. J’étais seule, il avait brisé mon seul point d’accroche qu’il me restait. Je devais continuer d’avancer mais pour qui ? Pour quoi ? Il me manquait quelques choses. Dans cette pale copie d’être humain que j’étais, naquit ma haine. Toi qui étais tout pour moi, tu m’as tout prit. Je t’aime autant que je te hais. Mais tu m’as donné la force d’avancer pour te faire payer ce que tu nous as fait. J’ai redoublé d’effort a mon entrainement spécial, ma haine était mise à profit. Aconit commença à m’apparaitre, puis nous pûmes parler. Elle est revenue à moi, en moi peut être...

L’année suivante on me proposait de devenir une vampire à mon tour. J’embrassais cette offre, me rapprochant un peu plus de mon but. M’ayant toujours inscrit aux tournois sous un autre nom, je n’avais aucun mal à renier mon nom. Ce bâtard qui avait abusé de ma « gentillesse » allait devenir mon père… De lui aussi je me suis vengé. Le sevrage était difficile au début, mais je lui ai toujours fait croire que je ne me maitrisais pas et il un tragique incident arriva. Aconit n’approuva pas notre méthode. On m’attribua un parent de substitution pour la fin de mon sevrage. Etonnamment ça se passa mieux qu’avec le premier. Quand je fus entièrement indépendante, nous avons rejoint les manteaux pourpre un temps pour parfaire nos techniques et rechercher ce traitre. Aconit ne lui veut pas de mal mais moi je ne supporte pas qu’il sans tire sans conséquence.

Trouver des informations le concernant était d’obsession et quand j’eu ce que je souhaitais, nous avons quitté les manteaux pourpre pour ouvrir un magasin d’arme. Non pas que nous aimions ça mais j’avais pris goût à la mort et la torture, il nous fallait une bonne couverture pour nos activité nocturne. Aconit n’apprécie pas du tout cela, mais accepte que mon esprit torturé se relâche à ses moments. Maintenant que nous sommes plus forte, nous allons te retrouver Swann Solaris, pour lui pardonner dit Aconit, pour le torturer dit Belladona.


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Bloodborn - Lady Maria → Belladone Loriens


Message par Belladona Loriens Ven 19 Mar - 11:39
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des vampires !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande d'esclave et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Mer 24 Mar - 7:37

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