Physique

Myrina est une femme à la peau laiteuse en pleine force de l'âge, sont corps est encore tonique malgré les quelques traces d'une élasticité moins importante sur son corps du à sa grossesse. C'est une femme assez grande à la taille marqué. Elle a toujours eu un peu de mal a s'habillé du à
sa poitrine assez opulent et trouver des vêtement qui allient élégance et confort pour sa morphologie est un calvaire si bien qu'elle les couds elle-même. Bien qu'elle ait toujours été généreuse, sa grossesse passé à accentué ses formes qu'elle n'a malheureusement pas perdu. Elle possède un tatouage qu'elle a dût faire par envie de son précédent maitre et dont l'endroit exacte reste à découvrir pour les aventureux.

Myrina est une femme coquette, cherchant toujours à mettre son visage en valeur surtout quand on a de si beau cheveux noir sans aucun frisotis. Elle adore user de maquillage et de bijoux également. Son visage fin émanait toujours une douceur souligné par ses yeux d'un bleu intense. Aujourd'hui c'est une femme en pleine reconstruction. Son unique enfant ayant été vendu très tôt, veuve depuis peu, son maitre ne trouvant plus trop d'intérêt pour elle là cédé à un autre, elle n'a plus de repère et semble vaciller entre apathie et crise de larmes, tombant plus profondément dans une dépression. Bien qu'elle n'était pas ce qu'on appelle une femme forte, elle n'était pas non plus la femme faible et hagard qu'elle est aujourd'hui.

Psychée

Aussi longtemps qu’elle s’en souvienne elle a toujours accepté sa condition. Non pas qu’elle fut mal traité mais c’était plus du fatalisme. Elle était esclave et le resterai toujours. Pour elle, même les vampires n’avaient que peu de pouvoir au finale, toujours dépendant de quelqu’un d’un statut plus important.  Et pourtant elle ne le vivait pas mal. C’était comme ça point. Malgré tout elle avait un caractère enjoué pour les choses, les petits bonheurs de la vie lui était empilement suffisant. Elle aimait les rires, les belles choses. Bien qu’elle soit grande, elle n’était pas pour autant très sportive ou endurante aussi les tâche des champs n’ont jamais été faite pour elle.

Comme tout le monde elle avait des moments de colère, de joie, de tristesse… mais plus aujourd’hui. Elle n’a plus rien, plus personne à part Ibiki.

La femme d’aujourd’hui n’est qu’une coquille vide qui se remplit de tristesse et d’angoisse par moment. Elle vécut la vente de son fils comme une trahison de leur maitre qui entraina la mauvaise santé de son feu son époux. Elle souffre de l’absence de son fils mais aussi de la disparition de son mari qui avait fini par se faire une place dans son cœur. Elle éclata sa colère quand son le Shil voulu la revendre mais bien vite son esprit s’éteignit pour supporter tout ce qui allait se passer. Tantôt pantin désarticulé, tantôt en pilote automatique, elle est à nouveau docile, ne montrant que très peu d’émotion. Quand sa perruche se pose sur elle, les larmes lui montent.

Bien qu’entouré de lymbe, Ibiki qui représente aujourd’hui sa seule source de lumière n’arrive pas à dissiper tous ses sentiments négatifs qui l’habite mais qu’elle tait.

Histoire

Je suis las… las de tout ce qui m’entourent. J’avais une vie, bien que très modeste, qui m’allait parfaitement. J’ai grandi hors du besoin, le maitre de mes parents étant plutôt bon avec moi, a toujours veillé à ce que je ne manque de rien. Il n’a jamais posé un doigt sur moi, jamais essayé de me mordre et m’a même trouvé des compétences qui m’ont permis de sortir du travail des champs. J’avais un don pour la couture. Enfin je l’ai toujours mais je n’arrive plus à me concentrer. Il me l’a fait perfectionner. Je n’aimais pas ça au début mais quand mon corps à commencer à changer, j’y ai trouvé quelques choses d’utile et puis finalement c’était devenu agréable.

Un jour il m’a vendu à un Shil. J’avais seize ans. J’avais peur. Mais la vie d’esclave ce n’est que ça au finale. Un bétail que les puissants se troquent. Ma réticence était justifiée à mon sens. Il avait de grand projet pour moi. Lui aussi voulait perfectionner mes talents. Il n’y avait pas que ça… il a avait vu le potentiel de mon corps… Je n’ai pas plus d’importance qu’une poule. Fait est dit, un an après j’étais marié à un homme que je ne connaissais pas. Odwin était gentil et attentionné mais … il n’a pas fait vaciller mon cœur. Moi qui aime me blottir contre de large épaules, me sentir en sécurité, je n’avais pas ça. Ce fut dure. De suite on nous a demandé d’avoir un enfant. C’était difficile d’avoir un coït avec quelqu’un qui n’est pas à votre goût, mais peu à peu nous nous entendions, nous nous apprivoisions et puis finalement la grande alchimie de la vie posa les bases d’une vie au sein de mon ventre. Même si je ne l’aimais pas d’amour, je l’appréciais suffisamment pour accueillir cet enfant sereinement.

Quand il fut là, il balaya tout ce qu’il y avait de mauvais en ce monde. Bien sûr que j’étais fatiguée, bien sûr que j’ai eu envie de tout abandonner mais Aldebaran avait le plus beau des sourires. Je ne savais pas moi-même que j’étais capable d’aimer autant quelqu’un. Notre vie à trois était agréable. Et puis un jour les finances de notre maitre n’étaient plus au beau fixe. C’est là que tout bascula. Pour se renflouer il a vendu notre petit garçon alors âgé de 3 ans. Ce fut dure, ce fut terrible. Odwin en tomba malade au point de ne plus réussir à travailler correctement. La punition se fit sévère pour qu’Odwin se remette à la tâche en usant ses dernières ressources. Il s’en tua, me laissant seul aux mains de cet homme sans cœur. Je n’étais plus capable de concevoir des vêtements sans erreurs et le fait de perdre mon époux plongea un peu plus le maitre dans une situation financière désastreuse. Comme je n’arrivai plus à travailler correctement à mon tour, il voulut me revendre.

Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je me souviens avec crié, lancé des choses dans la pièce, m’être approché pour le gifler mais c’est moi qui me suis retrouvé giflé. Je ne connaissais pas cet homme. Mon maitre n’avait jamais montré la moindre violence sur moi et là, il me frappait, encore et encore. Puis je ne sais pas… j’ai l’impression d’être sorti de mon corps et de marché à côté de moi. Mon corps bouge, il fait des choses, je pleure, je crie mais je ne m’entends pas. Et le noir. Je suis fatiguée…. Mon corps à sa propre initiative et moi je suis enfermée dans une pièce sombre. Ibiki me rend visite de temps à autre mais sa chaleur est insupportable.

Mes yeux se ferment et se rouvrent, je crois qu’il s’est passé plusieurs jours. J’ai mal nulle part ailleurs que dans ma poitrine. Mon souffle est lent. Il me semble que je suis exposée pour la vente. Je suis las… Las de tout ce qui m’entoure.