Marianne Velba
Invité
Marianne Velba
« N'est pas mort ce qui à jamais dort
Et au long des siècles peut mourir même la mort »
Informations
Prénoms : Marianne
Nom : Velba
Age : 34
Clan : Atlach
Groupe : Esclave
Métier : Boulangère
Orientation sexuelle : Hétéro
Situation familiale : Seule
Familier : Carcajou Boréal
Pseudo : Akhaten
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Physique
Marianne est une grande blonde des régions hostiles du nord. Elle a la carrure athlétique et solide ainsi que les cheveux blonds cendrés et les yeux d'un bleu turquoise. Souvent décrite comme douce et farouche à la fois, son charme n'était nié par personne avant que les flammes de ses fourneaux ne la défigurent une bonne fois pour toute du haut de la tempe au bas du sein sur tout le flan gauche. Depuis, il est impossible de l'apercevoir sans un masque et une cape pour cacher son apparence hideuse.
- Spoiler:
Psychée
L'esprit torturé entre ses traumatisme passés et la follie artistique de son maitre, Marianne est terriblement malheureuse. Elle est fascinée par la mort et ne souhaite plus vraiment vivre, mais son maitre la tient à l'œil et lui fait vivre un enfer la voyant comme muse. Plutôt coriace et combative, elle a fini par céder, plus rien ne la raccroche à ce monde, si bien qu'elle s'est abandonnée à l'art de son maitre. Cependant, depuis quelques temps, une petite lueur ténue s'est allumer à nouveau en elle. Son familier, un Carcajou Boréal, pourrait bien avoir fini par la retrouver après toutes ces années. Elle le sent au fond d'elle, il n'est plus très loin.- Spoiler:
Histoire
Marianne est née en 535 à Rive-Blanche, au cœur des monts de Mistrallin, ses deux parents, esclave comme tout un chacun s'accommodaient de leur vie de servitude, pratiquant tout deux le métier de boulangers pour le maitre qui gérait l'auberge. Malgré leur statut d'esclave et l'hostilité de la région, ils menaient une vie relativement correcte. Assez vite, dès qu'elle fut en âge de raisonner, elle passait ses journée dans les jambes de son père, gambadant parmi les brioches, se remplissant les poches de petits pains au chocolat. Le destin qu'on avait choisi pour elle serait certainement le même que celui de ses parents, une formation à moindre frais pour le contremaitre.
A l'adolescence, elle savait faire elle-même de très fameuse brioches qui faisaient une partie de la renommée de l'auberge. Même les bêtes qui peuplaient la forêt de pins et de glace à côté du village raffolaient de ces friandises dorées, du moins une en particulier. Outre les petits animaux qui se contentaient de miettes essaimées par accident lors d'une promenade, un carcajou boréal de 120 centimètres de long avalait régulièrement les pâtisseries d'une bouchée. La créature, affable d'apparence, avait la queue touffu et une petite tête rondes, mais sa férocité était connue de tous les gens du coin. Pourtant, celui-ci semblait s'être laisser dompter par les talents de Marianne. Plus tard, lorsque leurs émotions se mirent à se confondre, elle compris qu'un lien particulier les unissaient.
Il n'existe aucune histoires heureuses pour les humains du royaume de Haut-Levant et celle de Marianne ne déroge pas à la règle. Si elle avait su que les 17 premières années de sa courte existence avait été les plus elles qu'elle allait vivre, sans doute aurait-elle décidé de la terminer à ce moment là. Ce jour de 542 où, sous le coup de l'ivresse et de la cruauté, un éminent guerrier du clan Miranna qui faisait étape à Rive-Blanche assassina ses deux parents comme un enfant torture des mouches. Le petit rêve de Marianne vira au cauchemar.
Peu de temps après, le maître qui avait la charge de la famille Velba échangea la fille à un étrange marchand du clan Atlach contre une belle petite fortune en or. Marianne, folle de chagrin, cru bon d'essayer de s'échapper dans la montagne. Elle arriva tout de même à l'orée du bois, de l'autre côté de la rivière gelée où elle fut rattraper par les chiens de son nouveau propriétaire. Lui et quelques autres vampires, à quelques pas derrières, sur leurs chevaux, assistèrent à une scène étonnante. Alors que l'esclave était prise au piège, cernée par ces molosses patibulaires, une grosse masse sombre et poilue déboula d'entre les arbres et mordu à la gorge le premier chien qui s'écroula presque aussitôt. Le carcajou se battit férocement pour défendre son humaine, malgré ces assaillants en surnombre. Les vampires s'approchèrent au galop et l'un d'entre eux, d'un coup d'épée bien senti, l'envoya valdinguer contre un arbre qu'il heurta dans un fracas lugubre avant de retomber au sol. Du sang tacha la neige sous son corps et, un coup de trique plus tard, Marianne s'évanouit de douleur.
A son réveil, la caravane d'esclave faisait déjà route vers Erebos. Au début, Marianne passa relativement inaperçu dans sa nouvelle demeure. Elle était jeune et jolie, mais d'autres esclave, plus jeunes et plus jolis, attiraient déjà les faveurs du maître et de ses amis. Bien sagement occupée en cuisine, la boulangère faisait son deuil sans trop y croire. Les années passèrent, elle ne se remit jamais complètement du vide laissé par la perte de ses parents et de son familier. Les brioches quand à elle, faisaient toujours le bonheur de ses camarades d'infortunes et des favoris qui vivaient ici. Le propriétaire du manoir et de la plupart de ses habitants était un artiste très prisé de la court du prince Wolfram d'Atlach. Il voyait son œuvre pour le moins macabre comme un univers à part entière, une sorte de royaume conceptuel dont les formes d'expression était infini.
Quand le maître eu enfin découvert Marianne dans la fourmilière de sa maison , elle y avait déjà vécu 11 années. Il faut croire qu'elle était de ses femmes dont le charme s'affinait avec le temps ou bien que ses brioches avaient fini par gagner le cœur même des vampires ou encore que l'artiste s'était mis en tête une nouvelle lubie esthétique dont elle serait la pièce maîtresse. Un matin, après avoir passer la nuit à cogiter, alternant des phases de délire artistique, d'hallucination narcotique et de baise fétichiste, il sentit l'odeur des petits pains en préparation pour la pitance des humains qui sortait du four. Marianne était seule à ses fourneaux. Il la regardait songeur. Cela faisait plusieurs mois que son intérêt pour elle avait tourné à l'obsession. Elle avait peur, mais ne le montrait pas, douce et farouche à la fois. Sous les fours où cuisait le pain, le feu crépitait. Plusieurs minutes de silence se passèrent, quelques mots s'échangèrent sur des aires de défiance, Marianne sacrifia même un peu de son sang à l’appétit du vampire. Il en profita pour plonger sa tête dans les braises incandescentes. Elle hurlait d'une souffrance atroce tendis qu'il se réjouissait de son travail visionnaire, la qualifiant de muse, d'égérie, de Magnum Opus.
Plus personne ne revit jamais la boulangère aux cheveux blonds comme ses brioches dans la demeure. Affreusement défigurée, elle s'était vu offrir une nouvelle cellule, dans une ailes isolée du manoir, réservée aux nombreux ateliers de création et dont elle ne sortait que très rarement. Lorsqu'elle le faisait, c'était toujours couverte d'une longue cape et le visage caché par un masque en porcelaine. Seul son maître la voyait encore sans ses atours. Elle l'assistait dans sa création, lui servant tantôt de modèle, tantôt d'assistante, tantôt de jouet. Avec le temps, Marianne a perdu pied avec la réalité, s'ouvrant irrémédiablement à l'œuvre de son tortionnaire et acceptant sa noirceur. Son esprit terriblement mutilé n'a plus qu'une idée : confronter la mort en face.
A l'adolescence, elle savait faire elle-même de très fameuse brioches qui faisaient une partie de la renommée de l'auberge. Même les bêtes qui peuplaient la forêt de pins et de glace à côté du village raffolaient de ces friandises dorées, du moins une en particulier. Outre les petits animaux qui se contentaient de miettes essaimées par accident lors d'une promenade, un carcajou boréal de 120 centimètres de long avalait régulièrement les pâtisseries d'une bouchée. La créature, affable d'apparence, avait la queue touffu et une petite tête rondes, mais sa férocité était connue de tous les gens du coin. Pourtant, celui-ci semblait s'être laisser dompter par les talents de Marianne. Plus tard, lorsque leurs émotions se mirent à se confondre, elle compris qu'un lien particulier les unissaient.
Il n'existe aucune histoires heureuses pour les humains du royaume de Haut-Levant et celle de Marianne ne déroge pas à la règle. Si elle avait su que les 17 premières années de sa courte existence avait été les plus elles qu'elle allait vivre, sans doute aurait-elle décidé de la terminer à ce moment là. Ce jour de 542 où, sous le coup de l'ivresse et de la cruauté, un éminent guerrier du clan Miranna qui faisait étape à Rive-Blanche assassina ses deux parents comme un enfant torture des mouches. Le petit rêve de Marianne vira au cauchemar.
Peu de temps après, le maître qui avait la charge de la famille Velba échangea la fille à un étrange marchand du clan Atlach contre une belle petite fortune en or. Marianne, folle de chagrin, cru bon d'essayer de s'échapper dans la montagne. Elle arriva tout de même à l'orée du bois, de l'autre côté de la rivière gelée où elle fut rattraper par les chiens de son nouveau propriétaire. Lui et quelques autres vampires, à quelques pas derrières, sur leurs chevaux, assistèrent à une scène étonnante. Alors que l'esclave était prise au piège, cernée par ces molosses patibulaires, une grosse masse sombre et poilue déboula d'entre les arbres et mordu à la gorge le premier chien qui s'écroula presque aussitôt. Le carcajou se battit férocement pour défendre son humaine, malgré ces assaillants en surnombre. Les vampires s'approchèrent au galop et l'un d'entre eux, d'un coup d'épée bien senti, l'envoya valdinguer contre un arbre qu'il heurta dans un fracas lugubre avant de retomber au sol. Du sang tacha la neige sous son corps et, un coup de trique plus tard, Marianne s'évanouit de douleur.
A son réveil, la caravane d'esclave faisait déjà route vers Erebos. Au début, Marianne passa relativement inaperçu dans sa nouvelle demeure. Elle était jeune et jolie, mais d'autres esclave, plus jeunes et plus jolis, attiraient déjà les faveurs du maître et de ses amis. Bien sagement occupée en cuisine, la boulangère faisait son deuil sans trop y croire. Les années passèrent, elle ne se remit jamais complètement du vide laissé par la perte de ses parents et de son familier. Les brioches quand à elle, faisaient toujours le bonheur de ses camarades d'infortunes et des favoris qui vivaient ici. Le propriétaire du manoir et de la plupart de ses habitants était un artiste très prisé de la court du prince Wolfram d'Atlach. Il voyait son œuvre pour le moins macabre comme un univers à part entière, une sorte de royaume conceptuel dont les formes d'expression était infini.
Quand le maître eu enfin découvert Marianne dans la fourmilière de sa maison , elle y avait déjà vécu 11 années. Il faut croire qu'elle était de ses femmes dont le charme s'affinait avec le temps ou bien que ses brioches avaient fini par gagner le cœur même des vampires ou encore que l'artiste s'était mis en tête une nouvelle lubie esthétique dont elle serait la pièce maîtresse. Un matin, après avoir passer la nuit à cogiter, alternant des phases de délire artistique, d'hallucination narcotique et de baise fétichiste, il sentit l'odeur des petits pains en préparation pour la pitance des humains qui sortait du four. Marianne était seule à ses fourneaux. Il la regardait songeur. Cela faisait plusieurs mois que son intérêt pour elle avait tourné à l'obsession. Elle avait peur, mais ne le montrait pas, douce et farouche à la fois. Sous les fours où cuisait le pain, le feu crépitait. Plusieurs minutes de silence se passèrent, quelques mots s'échangèrent sur des aires de défiance, Marianne sacrifia même un peu de son sang à l’appétit du vampire. Il en profita pour plonger sa tête dans les braises incandescentes. Elle hurlait d'une souffrance atroce tendis qu'il se réjouissait de son travail visionnaire, la qualifiant de muse, d'égérie, de Magnum Opus.
Plus personne ne revit jamais la boulangère aux cheveux blonds comme ses brioches dans la demeure. Affreusement défigurée, elle s'était vu offrir une nouvelle cellule, dans une ailes isolée du manoir, réservée aux nombreux ateliers de création et dont elle ne sortait que très rarement. Lorsqu'elle le faisait, c'était toujours couverte d'une longue cape et le visage caché par un masque en porcelaine. Seul son maître la voyait encore sans ses atours. Elle l'assistait dans sa création, lui servant tantôt de modèle, tantôt d'assistante, tantôt de jouet. Avec le temps, Marianne a perdu pied avec la réalité, s'ouvrant irrémédiablement à l'œuvre de son tortionnaire et acceptant sa noirceur. Son esprit terriblement mutilé n'a plus qu'une idée : confronter la mort en face.
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019
Date d'inscription : 13/07/2019
Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des esclaves !
Bonne chance dans cette nouvelle vie !
Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande de maître et commencer à rp !
Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !
Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
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