Physique

Maowyn est assez grande, elle mesure environ un mètre soixante dix. Elle n'est pas exceptionnellement musclée, juste ce qu'il faut pour danser. Elle est souple, gracieuse et élancée. On ne peut pas dire qu'elle a beaucoup de forme. Elle est féminine mais n'a ni poitrine généreuse ni fesse extra rebondit.

Elle a cependant de très long cheveux noir qu'elle laisse rarement défait. Elle les porte souvent en tresse qui lui tombe très bas dans le dos. Elle a des yeux vert qu'elle sait mettre en valeur grace à des bijoux. Elle sait se tenir droite et marcher avec élégance. Elle s'habille comme son Maître le lui demande et est généralement parée d'or. Souvent, quand on la voit pour la première fois, on peut penser qu'elle est une vampire car ses vêtements et ses bijoux lui donne l'air d'être riche, mais son collier rappel assez vite son appartenance à la caste des esclaves.

Psychée

Maowyn est assez discrète. Elle ne cherche l'attention que lorsqu'elle danse et là encore, elle est parfois juste embauché pour la décoration. Elle sait très bien écouter, entendre et déduire de ce qu'elle entend. Ainsi, il n'est pas impossible que son maître connaisse quelque détail de la vie d'autrui.

Elle est plutôt douce et patiente, mais elle peut parfois montrer un caractère plus revêche et un peu trop égoïste. Très attentive, elle arrive parfois, quand elle le veut, à voir ce que d'autres dissimulent. Elle est assez cultivée, suffisamment pour avoir un échange, mais pas assez pour pousser loin les réflexions, mais elle aime bien apprendre. Elle est assez rancunière, elle ne fera rien contre celui qui la vexe mais elle pourrait longtemps bouder. Maowyn est aussi une esclave très loyale et obéissante. Elle ne va jamais à l’encontre des souhaits de son Maître et n’en a jamais envie. Peut-être un jour, elle aura la chance de devenir une favorite.

Pouvoir

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Histoire

Je ne connais pas l’histoire de mes parents, je sais que j’ai une soeur de sang puisqu’elle a grandi avec moi, mais du reste je n’en ai pas la moindre idée. Je n’ai de souvenir que la maison de mon Maître et des nourrices qui s’occupaient de nous.

Nous étions une dizaine d’esclave, il y avait plus de fille mais nous apprenions les même choses. Lire, écrire, compter, la géographie et l’histoire. Je suis convaincue que nous sommes les esclaves les plus instruit de notre zone de résidence. Pourquoi étions nous dans l’apprentissage ? Tout simplement car nous allions accomplir de grande chose. Ceux et celles qui n’arrivaient pas bien à apprendre l’essentiel était revendu ou échangé, mais c’était assez rare.

En plus des études nous nous essayons à l’art. Ma soeur peignait magnifiquement bien, pour moi, ce fut la danse. Plus le temps passait et moins on ressemblait à une bande d’enfant… nous étions presque… une troupe d’artiste. Puis, quand nous atteignons l’âge de quinze ans, on se consacrait entièrement à notre second travail. La récolte d’information.

Mon Maître a énormément d’esclave à son service, des enfants principalement. Nous récoltons les informations quand elles nous parviennent. Aucun de nous ne les cherche ou les tire du nez, non, nous travaillons à nos tâches ordinaire puis nous répétons les informations importantes. Cependant, nous ne sommes pas beaucoup à le servir une fois grand adolescent. Je ne sais pas ce qu’il se passe pour ceux et celle qui ne font plus partie de la famille, je n’ai jamais cherché puis que je ne connais que les neuf enfants qui ont grandi avec moi.

Quand je fus enfin prête, il m’introduisit dans les grandes soirées en tant qu’invité et danseuse. Il utilisait son pouvoir sur moi pour rendre ma danse bien plus hypnotique. Il donnait illusion à ma robe, elle s’embrasait de feu indolore. Petit à petit, ma réputation enflait et même si je n’étais pas toujours au centre de l’attention, j’étais convié à danser pour habiller les soirées mondaines de Carmin, seule ou avec mon Maître.

Aujourd’hui, je voyage généralement avec mon Maître même s’il m’arrive d’être seule, je danse très souvent dans de simple soirée où je ne fais que du remplissage, de la figuration. Je rapporte autant d’information que possible à mon Maître qui me chouchoute bien trop…

J’ai rencontré Steve il y a quelques mois, il était jongleur… piètre jongleur dans un cirque mais un petit voleur hors pair. Nous avons créer le lien dès notre premier regard et depuis, le petit oustiti ne me quitte plus. Oh, et attention à vos poches, il est légèrement et toujours chapardeur.