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Zorya

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Invité

Zorya


« Un lac réfléchit mieux les étoiles qu'une rivière. »


Informations



Prénoms : Zorya (prénom donné par son maître)
Nom : //
Age : 76 ans, transformée à 27 ans
Clan : Iona
Groupe : Vampire
Métier : Gérante de l'étoile du Soir
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Situation familiale : Un père vampirique ainsi qu'une famille humaine à lieu de vie inconnu
Familier : //


Pseudo : Aimdée
Comment avez vous connu le forum ? Mon TC o/
Avez vous signé le règlement ? Oui monsieur **7
Un dernier mot ? *chafouine Rhirhi dans un coin*



Physique

D'un mètre soixante dix, sans doute une taille moyenne voir un peu plus haute que cette dernière, couplée d'une allure plutôt athlétique. J'aime effectivement me dépenser en dehors du travail, mais une poitrine menue et des fesses rebondies, voilà ce que m'a donné la vie. Les traits plutôt fins, des lèvres roses, dessinées, mais charnues s'étirant rarement d'un sourire, le plus souvent en coin. Un regard à l'acier glacée, n'enlevant rien aux rumeurs murmurées. Une chevelure longue, châtain et soyeuse, quoi que sauvage et ondulante par moment. Mes cheveux apprécient visiblement le contact de mes yeux, ou alors celui de mes mains les renvoyant un peu plus loin.

Une peau claire, un peu rosée, qui déjà humaine supportait assez peu les rayons du soleil. Le tout agrémenté d'un style plutôt sobre, souvent sombre, pas forcément aussi féminin que mes congénères, car il n'y a vraiment rien de commode à travailler dans de tel condition. Et puis je n'en ai pas vraiment besoin, je ne suis pas là pour plaire. Ce n'est pourtant pas ce que je veux que vous voyez, même si je sais bien que cela vous sied. C'est facile d'apprécier, quand on a que les yeux pour penser. Évidemment, c'est toujours rassurant quand seule on n'y parvient pas, mais tenter un effort un peu plus insistant, si votre cœur est assez vaillant.


Psychée

Que dire de plus que ce que vous voyez ? Que justifier quand votre opinion est déjà pliée ? En ai-je la force, en ai-je l'envie, quand je lis dans votre regard l'inconfort que je vous provoque ? Pas vraiment, soyons honnêtes. Je pourrais vous dire que la fleur de glace que vous voyez, que la distante femme que vous contemplez, n'est pas celle que vous croyez. A quoi bon cependant ? Ai-je suffisamment de quoi vous faire changer ? Tromper l'absence d'un regard par la politesse et la chaleur des mots ne suffit pas toujours, aussi sincères soient-ils. Mes responsabilités y font beaucoup, l'accueil est central, pourtant ce n'est pas vers moi que vous irez et c'est bien normale. Les humains et autres vampires paraissent bien plus accessibles que la demoiselle discrète en bout de file qui ne soutien même pas votre regard battant des cils.

 Presque effacée, mais pourtant bien visible, plus que je ne le voudrais, je le concède bien volontiers. Tantôt d'un comportement froid pour certain, tantôt hautain, les mots et les regards dansent en ma présence. Ne croyez pas cependant que je ne les entends pas, j'y fais ardemment attention, bien que je ne devrais pas. Vous vous plaignez ou pleurez du bout du bar, je l'entendrais. Vous glisserez à votre ami que vous auriez bien envie de me réchauffer, je l'entendrais. Au fond de la salle, vous criez sur un de mes employés, je l'entendrais. Pas par mes sens non, par mon attention ouverte, panoramique et empathique. Je n'y répondrais pas, pourtant, à part pour le dernier exemple évidemment. Là vous rirez moins, mais au delà de ça, ne vous en faites pas. Vous aurez droit peut-être à quelques mots cinglants, mais pas davantage, l’enjeu n'est pas assez important. Ce n'est pas un manque d'implication, simplement un manque d'envie. J'aurais peur que vous ayez raison si l'on entre en confrontation.

Paradoxalement, je suis une épaule attentive, n'attendant pas qu'on le soit pour moi. J'aime aider, conseiller, apaiser autant que je le peux. Je n'aurais cependant pas forcément le réflexe de vous prendre dans mes bras, c'est un brin audacieux pour moi. Cela ne vous suffira peut-être pas, mes mots manquent parfois de tact, aussi bienveillants qu'ils soient. Croyez moi, j'aimerais vous dire tout ça, mais j'ai perdu la force de me battre, parce que je l'ai trop dit sans que cela ai un quelconque poids.


Pouvoir

Parlez de pouvoir, je parlerais de malédiction, surtout quand ce dernier n'a rien à voir avec ma volonté. Il me suffit de croiser votre regard, pour voir vos émotions. Voir n'est encore cependant pas assez fort, je les ressens comme si elles étaient miennes et bien plus encore, même après vous avoir quitté des yeux. Elles sont en moi plus puissantes qu'en vous. Si c'était amusant au départ, avec le temps c'est devenu une sorte de petit cauchemar. Je ne suis jamais en paix finalement, je me débats déjà avec mes propres émotions, il faudrait aussi que je compose avec les vôtres. Cependant, la tête que je regarde vous appartiens, la mienne n'est pas faite pour contrôler ce que vous vivez. Alors c'est là, simplement là, comme un lumière qui vous aveugle, vous ne voyez plus que ça. Imaginez vous, comme il est difficile d'avancer quand un coup à l'estomac vient de nul part, quand un frisson douloureux apparaît sans crier gare, quand une colère explose sans raison. Je vous parle d'une malédiction, ne me parlez pas de pouvoir.


Histoire

L'étoile du matin.

S'en était un particulièrement ensoleillé, le jour où mes petits yeux bleus s'ouvrirent sur ce nouveau monde bien animé. Sans avoir aucun souvenir de cette époque, je la juge la plus belle et m'en émerveille. Ces temps d'insouciance et de pure innocence, ce devait être charmant. Les choses ne sont malheureusement plus les mêmes à présent. Du plus loin que remontent mes pensées, nous avons toujours été esclaves, comme tous les autres humains évidemment. Mes parents eurent ma sœur aînée et moi, avant que mon père ne succombe à une maladie au terminus fulgurant. Après quoi, ma mère mit au monde un fils, avec son autre compagnon de vie. Nous avons toujours été la propriété des Ionas, travaillant de ci de là à la solde des plus importants que notre petite existence. Je n'ai jamais eu l'esprit assez rebelle pour les en blâmer, ma condition ou leur ascendant, à quoi bon de toute manière, il était évident que je n'y aurais rien changé.

Chacun des membres de ma famille fut répartis sur différentes tâches, j'ai fini par ne plus les croiser au fil du temps. Je ne sais même pas vraiment s'ils sont toujours là quelque part près de moi, toujours en vie, ou ailleurs. Je pense souvent à eux évidemment, mais j'ai l'impression d'en avoir de moins en moins le temps. Je fus mise sous la tutelle d'un vampire aux diverses passions, fluctuantes et plutôt éphémères à y regarder de près. Si à mes débuts il tenait une maison de passe, puis une salle de spectacle, il a fini par trouver de quoi réunir toutes ses envies en un établissement polyvalent au sein de la Capitale, rassemblant débit de boisson, service à table et autres divertissements. Pour ma part, je m'illustrais davantage à la prise en charge de la clientèle, ayant une empathie déjà bien installée et veillant à leur confort avec beaucoup d'assiduité.

Ma condition l'obligeant, je répondais également à leur demande du temps où je fus humaine. Avec parfois du plaisir, mais la plupart du temps beaucoup moins, mais je n'y pouvais rien, cela faisait parti du travail et j'étais déjà bien heureuse d'avoir cette place plus à envier que d'autres, moins que certaines. Peu m'importait, le maître était plutôt bon avec moi, jusqu'à même me privilégier et me faire favorite. Il m'avait soufflé l'envie de m'offrir la gérance de son établissement, quand arriverait le moment pour lui, ou l'envie, de se retirer tout simplement. Il était versatile, à tout point de vue, alors c'était prévisible, mais j'étais honorée et appréciais sincèrement ce cadeau qu'il me faisait. Redoublant d'effort et d'investissement, je me plaisais à recevoir ainsi de l'ampleur, celle qui m'avait toujours manqué jusqu'à présent. Bien vite cependant, cela me passait car dit importance, dit nouvelle attirance. On me tournait plus autour qu'à l'accoutumée, c'était parfois assez étrange, mais j'en faisais mon tribu à porter, comme un lot nécessaire à obtenir cette place enviée.

L'étoile du soir.

Vint alors le déclin de l'humain, faisant place à celle à laquelle je prétendais, mon maître fini par me transformer, au crépuscule d'une journée glacée. Cela avait été douloureux, atrocement, des jours durant, peut-être des semaines si j'en croyais ce que l'on m'en disait. Il ne venait à moi, à mon goût, jamais assez souvent. J'avais tellement envie de lui, de son sang à m'en arracher les veines si ma faim n'était pas rassasiée. Elle ne l'était jamais vraiment. Ces temps avaient été mitigés, jonglant entre la souffrance affamée et plaisir de se sustenter, aussi souvent qu'il m'était donné d'y goûter. Je découvrais également l'étendue de mon pouvoir, c'était amusant au départ. Je ressentais l'envie de mon maître pour moi, à laquelle il ne pouvait plus répondre, c'était grisant par moment, beaucoup moins au fil du temps.

Impossible de discuter, les yeux dans les yeux, sans être perturbée par l'intensité des émotions de l'autre. C'était tout simplement déstabilisant, je me perdais moi-même dans ses échanges, à ne plus savoir où poser mes pensées sans être harcelées. J'ai donc tout simplement fini par éviter de croiser les regards, c'était une solution simple, mais toute trouvée. Les bruits allaient, par la suite, de bon train. J'étais passé gérante de l'établissement, mais manquait cruellement de ce qui rendait une discussion intéressante, ou en tout cas plus poignante. Si ça en avait désintéressés plus d'un, cela attirait finalement les autres. Je mentirais si je disais que je n'aimais pas plaire, j'aimais cela assurément, mais leur attirance était pour celle que je n'étais pas, pour celle qu'ils pensaient que j'étais. Il y avait de l'égo, du défi à ainsi dérider la renfrognée. Certains voyaient au delà, mais c'était bien trop rare pour le noter. Autrefois j'avais la force de m'en défendre pour les faire changer, ce n'est malheureusement plus le cas désormais.

L'étoile de minuit.

L'heure d'affluence, celle la plus animée au sein de ces murs aux rideaux tirés la journée. Les esclaves étaient enjoués à cette heure, ils savaient les clients passionnées. Pour ma part, j'observais de loin derrière mon bar, m'affairant à tout ce qui pouvait être fait. Le brouhaha d'un établissement à la bonne réputation emplissait la pièce, les verres s'entrechoquaient, les rires résonnaient. C'était ma vie à présent, ça l'avait toujours été finalement. C'est peut-être maintenant à vous d'entrer, d'amener une pointe d'inattendu dans à cette soirée, si le cœur vous en dit.


Crédits Avatar


Code:
Elymiart → Zorya


Message par Invité Lun 9 Mar - 15:29
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des vampires !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande d'esclave et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Lun 9 Mar - 15:59
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Bonjour,

Suite au recensement fait sur le forum entre mai et juin 2020, le personnage est passé dans le groupe mort.

S'il s'avère qu'il ne s'agit que d'un oubli de recensement, merci de contacter le compte "La Matriarche" par MP pour annuler la mise en Mort.

Cordialement,
Message par La Matriarche Lun 22 Juin - 12:10
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