-37%
Le deal à ne pas rater :
Promo : radiateur électrique d’appoint 1200W à 76€ sur Amazon
76.99 € 121.34 €
Voir le deal

Calypso, la harpe et le parchemin

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

avatar
Invité

Calypso


« Always borrow money from a pessimist. He won’t expect it back. »


Informations



Prénoms : Calpyso
Nom : /
Age : 18
Clan : Atlach
Groupe : Esclave
Métier : Messagère à cheval / voleuse
Orientation sexuelle : Ce qu’il faut pour survivre
Situation familiale : Son maître
Familier :

Pseudo : Moonie
Comment avez-vous connu le forum ? I am the beast
Avez-vous signé le règlement? oui
Un dernier mot? merci.



Physique


Calypso est une jeune liane, 1m72 pour 65 kilos, tout en hauteur et finesse, une ossature presque trop frêle, une musculature nerveuse et une démarche souple. Une morphologie en X bien que difficilement remarquable sous ses habits de cavalière frappés des couleurs et symboles du clan Atlach. Ses formes sont modestes sans être plates non plus. De dos, elle dégage une aura d’assurance calme. Elle marche tranquillement, sans rouler des hanches ou des mécaniques, tout en fluidité, évitant les écueils avec une certaine grâce. Cependant, vous la perdrez vite de vue, car elle ne présente aucun charisme particulier. Elle est somme toute assez banale, et ne cherche ni à se faire voir, ni à disparaître… et c’est comme ça qu’elle n’attire pas l’attention et qu’elle est capable de remplir à bien ses missions qui demandent la plus grande discrétion.

Par contre, si elle enlève son capuchon de voyage et que vous arrivez voir son visage, vous serez comme beaucoup assez surpris. Calypso n’est pas de ses beautés stupéfiantes et envoûtantes. Elle n’est pas laide pour autant. Elle est plutôt jolie, dans un style extrêmement naturel et simpliste.
Ses cheveux blonds sont fins et tombent jusqu’à sa taille. Ils encadrent un visage à l’ovale doux, quand lequel se dessine un nez légèrement en trompette et deux grands yeux bleu-gris aux reflets changeants selon la luminosité. Une petite bouche au sourire taquin, une peau rosée sans signe apparent et de longs doigts fins complètent un physique mignon, mais assez peu exceptionnelle. Rien ne ferait qu’on se rappelle d’elle, si ce n’était pas cette banalité, sa discrétion et son calme.

Et c’est exactement ce qu’elle veut. Oh, elle ne joue pas réellement un jeu. Calypso n’aime pas attirer l’attention, et ne désire sûrement pas être vue. Dans un monde où la vie ne tient qu’à un fils, la jeune femme désire vivre, bien et longtemps, et a savamment calculé son coup. Certes, elle ne doit sa vie actuelle que par un manque de chance phénoménal, mais forte de cette expérience, Caly a perfectionné son personnage public. Elle n’est pas la tempête, ou la brise délicate qui apporte des parfums suaves. Non, elle est le fin courant d’air qui rafraîchit mais qui est complètement normal.

Dans l’intimité, elle est bien plus vive et mordante. Elle bouge avec plus de détermination, économisant toujours ses forces. Elle reste peu bavarde et préfère largement rester là à vous fixer de ses grands yeux, pour pouvoir assener un seul coup, mais décisif.


Psyché


QUALITÉS : Ambitieuse / Rusée / Patiente / Appliquée / Débrouillarde / Discrète / Dévouée / Persévérante

DÉFAUTS : Imprévisible / Déloyale / Insolente / Egoïste / Avare / Silencieuse / Sarcastique / Jalouse

AIME : Vivre / L’argent et le luxe / Gagner / Les pâtisseries / Le blanc / La neige / La harpe

N’AIME PAS : Étaler ses sentiments / Perdre / La pluie / Les fruits de mers / Les pigeons / Le tabac /  Les gentils gnan-gnan

Certaines personnes ont des troubles de la personnalité. D’autres jouent des rôles pour cacher leur nature réelle ou se protéger. Calypso n’est rien de ce la. Elle sait parfaitement qui elle est, et n’en a pas honte. Elle a justement conscience qu’elle n’est pas forcément la plus amène des personnalités, et dans un monde où pour survivre, il faut plaire, être de nature plutôt solitaire et taciturne revient à signer peut-être pas son arrêt de mort, mais à freiner sa capacité à rester en vie. Aussi a-t-elle appris à arrondir les angles et à présenter un visage acceptable, tant par les autres que par elle-même.

Si elle peut ressembler à une jolie petite poupée, la blonde n’a rien de gentille. C’était plutôt le contraire. Elle est assez féroce, territoriale, tricheuse, menteuse, d’un naturel assez maussade avec un humour noir très caustique. Si son physique ne lui permet pas d’être une grande combattante, elle en a pourtant l’âme et si elle avait quelques kilos de plus, elle ferait une gladiatrice particulièrement redoutable. Calypso ne craint pas la douleur, et d’un tempérament très égoïste, fera toujours tout pour tourner les choses en sa faveur, y compris mordre, mentir, voler, tuer. En plus, elle affectionne les coups bas. Vaincre sans honneur veut pour elle surtout dire s’assurer de rester en vie. Car si elle sait endure, Calypso déteste les combats, dont elle se sait perdante désignée, donc on oublie le projet de gladiatrice. Elle n’engage en fait que les confrontations qu’elle pense gagner. Le reste du temps, elle se montre d’une prudence quasi-obsessionnelle.
Ainsi, si elle montre un visage lisse de petite poupée, c’est pour cacher son âme terriblement ténébreuse. Sous ses airs d’innocente timide, elle dissimule ses pensées. Elle sait écarquiller les yeux et jouer les naïves, mais la plupart du temps, elle sera une grande taiseuse, regardant autour d’elle avec une frilosité effarouchée. Elle aurait réellement pu être cette biche fragile, car c’était le destin qu’il lui était réservé, mais son caractère la pousser à rejeter cette possibilité et elle est devenue ce qu’elle, telle qu’elle est, par la force des choses et de sa propre volonté.

Calypso est dévouée corps et âme à son maître qui est l’alpha et l’oméga de son monde. Il lui a sauvé la vie et lui a donné une vie bien meilleure. Elle n’image pas une seconde pouvoir un jour se prélasser dans les soies et les brocards. Pour elle, c’était déjà assez bien d’avoir un lit au-dessus de l’étable, de porter les couleurs d’un clan et de pouvoir clamer être l’esclave personnelle d’un grand de ce monde. Wolfram est le seul en qui elle a aveuglement confiance. Les autres ? Elle les tolère. Vampires de tous rangs doivent montrer patte blanche si elle est de garde devant la porte du Prince, y compris les Ducs et Duchesse d’Atlach.
Dans l’intimité, quand elle se sait en sécurité, elle s’adoucit considérablement mais reste une teigne bornée et jalouse, mauvaise perdante et gourmande. Avide de confort et de luxe, elle est surtout désespérée de se maintenir en vie et ambitionne de ne pas faire que ça. Un jour, elle pourra être certaine qu’elle ne sera plus un jouet à la merci d’autrui, et elle pourra vivre sa vie tranquillement, aux ordres de son Prince, jusqu’à sa mort.


Pouvoir


Aucun


Histoire


HRP : Vu avec Wolfram pour tout ce qui est en lien avec lui, il a lu la fiche en avant-première et validé le tout

Pur produit de l’eugénisme du contre-maître local, Calypso était destinée à devenir une beauté de salon. Elle en a les traits, sans nul doute, mais son âme a empêché le développement ses formes et obscurcit ses traits. Elle qui devait captiver est finalement tout juste passable. Tout ça parce qu’après avoir été arrachée le plus tôt possible à sa mère (qui devait se dépêcher d’ouvrir les cuisses et de pondre le prochain bébé), après avoir été élevée pendant dix années par les maîtresses des goûts et des couleurs, elle n’était bonne à rien. Ni danseuse, bien que non dénuée de grâce, ni musicienne accomplie, bien que ses longs doigts fins égrenaient facilement les notes sur les cordes de la harpe, ni séductrice. Enfin, surtout pas séductrice. Calypso aimait les matières enseignées à l’école des courtisanes, mais détestait le but de cet apprentissage. Oui, elle savait que dans un monde dominé par les Vampires, il fallait plaire et qu’elle avait été produite pour être charmante… mais voilà elle avait le cœur dur comme de la pierre, et l’idée de ne pouvoir compter que sur son chant ou sa danse, ou son corps, pour séduire, lui paraissait être un plan très hasardeux. Elle n’était pas particulièrement douée dans les domaines qu’on lui imposait, alors qu’elle avait envie d’autres choses. Si elle avait été écoutée, Calypso aurait fait une parfaite cuisinière, une chef-patissière de renommée. Mais elle devait être une poupée.

Alors qu’elle fêtait ses douze ans, elle n’était rien qu’un échec. Ses professeurs avaient tenté de dompter son caractère inquisiteur et ses envies d’autre chose, en vain. Elle ne serait donc pas une courtisane, mais elle n’était bonne à rien d’autres. Pas assez souriante et affable pour être une servante, pas assez douée pour quelque chose d’autre.
Ainsi finit-elle dans les zones d’ombres, ces esclaves qui n’appartiennent à personne, mais qui servent à tous, pour des tâches dont personne ne revendique la commande. Assassinat, vol, recel, toutes ces joyeusetés qui se pratiquent au nom de l’ambition, de l’honneur du clan et de la montée en puissance. Les longs doigts fins de Calypso, déliés par des années de pratique de la harpe, trouvèrent un second emploi ici. Elle n’avait pas son pareil pour s’introduire dans les bourses pendantes aux ceintures, pour prendre ou déposer des mots plus ou moins compromettants, palper les doublures de veste à la recherche de fioles suspectes… Piètre danseuse, elle en avait pourtant l’agilité et savait se fondre gracieusement dans la foule, son pas souple s’adaptant aux mouvements et aux allures. Crocheter une serrure était autrement moins difficile que certains accords à la lyre…

Pendant trois ans, Calypso fut une âme à louer, une vie facilement sacrifiable sur l’autel des jeux de pouvoirs. Elle ignorait tout des conséquences de ses missions, mais savait qu’elle participait aux chutes et promotions, et comme une Moire invisible, tissait les destinées. Tout ça alors qu’elle se retrouvait à la merci du premier Manteau Rouge qui la surprendrait. Personne ne la défendrait à ce moment. Elle serait seule contre tous, et sa mort n’émouvrait pas un rat. Bien sûr, elle se fit prendre peu après ces 15 ans. Un concours de circonstances complément hallucinant. Elle s’était glissée dans une pièce d’un vampire de petite condition pour y déposer une liasse de documents dont elle ne voulait pas connaître les détails. S’étant faufilée par un étroit fenestron, elle venait de trouver la planque parfaite – discrète mais pas trop – quand la porte de la chambre s’ouvrit à la volée par un couple bien trop occuper à se nettoyer mutuellement les intestins avec leurs langues pour s’apercevoir de leur présence. Calypso eut juste le temps de se glisser sous le lit où elle dut attendre la fin des ébats…. Qui n’en finirent pas d’en finir, jusqu’à ce qu’une tierce personne arrivât. Madame la favorite avait un amant et qu’est-ce que les clichés du mari – en l’occurrence du maître – qui surgissait avec moults « ciel, mon mari », avaient la peau dure. Alors que les amants réajustaient leur tenue, l’homme s’aperçut de la présence de la voleuse sous le lit… Maintenant qu’il n’était plus fasciné par la favorite, le vampire pouvait sentir cet autre coeur qui battait si fort.

Tirée par les chevilles, Calypso se retrouva en plein drame. La porte s’ouvrir sur le maître accompagné d’un autre vampire, et les amants s’emmêlèrent les pinceaux sur leur explication, utilisant la blonde comme bouclier : elle était un cadeau de l’amant envers le maître, son sang était délicieux. Le maître demanda à Calypso si c’était vrai… Et là… soit elle dénonçait les amants et devait par là-même expliquer le pourquoi de sa présence ici, soit elle jouait le jeu et finissait en cube apéritif (au saumon, son préféré!). Entre la mort, ou la mort… N’ayant rien à craindre, elle s’adressa au maître, et proposa de tuer l’amant gratis contre sa vie. Elle récolta une bonne claque dans le museau et puisqu’elle était sans espoir, elle envoya son pied dans le genou du maître, histoire de lui faire comprendre que ça ne se passerait pas comme ça. Au moins mourrait-elle rapidement… Au même moment, elle faisait la proposition inverse à l’amant : tuer le maître contre sa vie.


A sa grande surprise, elle ne mourut pas et n’eut à tuer personne pour sa survie. L’invité du maître intervint pour lui sauver la mise. Séduit par la combativité de la gamine montée en graine, il la racheta, promettant de faire en sorte qu’elle gardât le secret sur ce qui s’était passé dans cette pièce… et ce qui allait s’y passer. Wolfram avait été amusé par son aplomb -et la cocasserie de la situation. Il conseilla à son hôte de régler son histoire de cornes par une petite ordalie, et s’en alla, l’adolescente prise au collet. Avant la fin de la journée, il avait retrouvé sa bande et son contre-maître, avait racheté Calypso et l’avait installée dans un bain dont il fallut changer l’eau trois fois pour retrouver un semblant d’humain sous la couche de crasse. Alors qu’elle dévorait un repas qui aurait nourrit un guerrier affamé, il la questionna sans relâche.
Si Wolfram était à Carmin, c’était pour des sombres affaires de pouvoir et de politique dont raffolait le reste de sa fratrie. Si lui-même ne s’y intéressait guère, ce n’était pas pour se faire plumer pour autant. Or, il avait parfaitement compris que la gamine connaissait les rumeurs et les chuchotis, ce qui se disait et se murmurait. Sans honte, elle avoua les contrats, dévoila les quelques noms… C’était son maître, non ? Pour le moment, elle n’avait pas encore réalisé le tournant que venait de prendre son destin. Certes, elle était enfin l’esclave d’un vampire. Elle n’était plus sans maître et à ce titre, avait réussi à sécuriser un certain confort de vie. Mais servir le Premier Prince ? Elle s’imaginait finir servante dans son palais, anonyme parmi tant d’autres.
Wolfram avait plutôt envie de jouer avec cette petite chose humaine, dont il appréciait la débrouillardise et cette folle envie de survivre. Il s’amusait beaucoup à la titiller pour briser son masque d’impassibilité, pour la forcer à lui faire voir ce côté chat sauvage qui feule et griffe. Par contre, il musela, sans le savoir, tout désir d’insolence, quand il utilisa son pouvoir en sa présence. Un autre serviteur se montra un peu manipulateur dans ses espoirs de se faire bien voir, et Wolfram abattit sur lui le jugement final du maître des marais. Lorsque Calypso comprit que son maître avait littéralement droit de vie ou mort sur elle, elle prit bien soin de ne jamais passer cette ligne qui différenciait amusement et exaspération.

Pendant un an, après les événements à Carmin, Calypso vécut à Erebos dans les quartiers des serviteurs de la Lame d’Onyx. Il pouvait se passer des semaines sans que Wolfram ne se souvint de son existence. Entre temps, elle astiquait les cuivres, faisait la chasse aux araignées, vidait les cheminées… et laissait ses oreilles traîner…. Et pas que ses oreilles. Quand elle comprit que le sommelier trafiquait avec la cuisinière sur les comptes des courses, elle s’arrangea pour qu’un des bijoux d’une vampire en visite se retrouva dans les appartements privés dudit maître des vins… et la cuisinière eut un malheureux accident dans un escalier briqué avec tant de soin qu’il en était devenu glissant. Bizarrement, on ne retrouva pas toutes les économies du duo, et quelques temps après, Calypso se payait une belle paire de botte et un manteau en fourrure. Des petits incidents ici et là, qui se répétaient. La blonde n’agissait pas par sens de la justice, ni même pas avarice – bien qu’elle n’hésitât jamais à tirer profit des situations. Non, c’était la peur de voir Wolfram découvrir le pot aux roses et qu’il déversât sa colère sur l’ensemble des serviteurs. Après tout, tout se savait plus ou moins, à moins de se mettre volontairement des œillères.

Le Prince savait parfaitement ce dont il retournait : Calypso n’était pas un modèle de vertu, mais bien une sangsue qui s’accrochait coûte que coûte. Elle pouvait lui servir à quelque chose, ou le trahir un jour où la peur serait moins grande que l’opportunité. Aussi décida-t-il un jour d’aller faire une expédition dans les marais, en n’amenant que la jeune femme de 16 ans avec lui. Pourquoi elle ? Bah, pourquoi pas. Ce n’était pas comme si elle servait à autre chose. Son sang n’était pas un cru exceptionnel, elle n’était pas une courtisane, ni même une servante exceptionnelle. Si quelqu’un devait se faire dévorer par les moustiques ou les crocodiles pour le plaisir du maître, elle valait bien un autre. Le chambellan lui donna cette mission, et elle se retrouva donc à patauger dans l’eau putride pour le bon plaisir Wolfram qui lui faisait cueillir de la mousse et des racines, pendant qu’il se tenait tranquillement au sec sur la berge.
Plus tard dans la soirée, elle s’aperçut qu’un crocodile se tenait tapi dans les ombres, prêt à sauter sur l’impudent. Sans savoir pour quoi, alors qu’elle savait que le reptile ne présentait aucun danger pour le Prince de la Mort, elle se jeta sur lui pour l’éjecter hors de portée de la puissance mâchoire. Wolfram expédia rapidement la « menace » mais sut désormais que Calypso était digne de confiance. Elle-même ne sut réellement expliquer son geste. Au bout du compte, elle n’avait juste pas envie de changer de maître. Il était étrange, puissant et glauque, mais au moins savait-elle sur quel pied danser avec lui. Un autre maître pouvait être beaucoup plus retord… et beaucoup moins avenant avec une servante qui n’excellait pas dans ses tâches.

Quelques jours plus tard, Wolfram la fit nommer messagère à cheval de sa correspondance privée. Il lui remit personnellement sa tenue aux armes du clan, et lui fit découvrir ses nouveaux quartiers, petite chambre mais personnelle, au-dessus des écuries. De part cette nouvelle position, elle était désormais directement rattachée au Prince, et bénéficiait d’une immunité totale face aux manœuvres du chambellan, du maître d’hôtel ou de la régisseuse. Elle allait et venait comme elle voulait, quand elle voulait. Elle ne répondait qu’aux ordres du Prince. Calypso prit cependant soin de ne pas trop étaler sa réussite. Le Prince ne la protégerait pas d’un couteau dans le dos.

Cela fait maintenant deux ans qu’elle parcourt les terres de Haut-Levant dans tous les sens, selon la correspondance de son maître. Elle a accumulé quelques belles robes et pièces, un ou deux bijoux, et espère pouvoir bientôt se payer la harpe dont elle rêve. Bien sûr, elle voudrait en avoir plus, mais pour le moment, se satisfait de ce qu’elle a. Un jour peut-être ne pourrait-elle plus monter à cheval aussi prestement, aussi faut-il assurer ses arrières. Continuer à plaire à Wolfram voulait dire continuer à lui être utile. Elle trouverait, dut-elle voler ou tuer pour ça...



Crédits Avatar


Code:
Lerina V - Inconnu → Calypso

Message par Invité Sam 24 Aoû - 21:54
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des esclaves !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande de maître et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Jeu 29 Aoû - 10:25
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Personnage mort, fiche archivé
Message par La Matriarche Jeu 22 Oct - 0:55
Contenu sponsorisé

Message par Contenu sponsorisé

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum