Le Deal du moment : -10%
-30€ sur la nouvelle Tablette tactile Lenovo Tab ...
Voir le deal
269.99 €
anipassion.com

Une volonté inébranlable est la meilleure des armes - Daenara

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

avatar
Invité

Daenara


« La liberté n'appartient pas aux Hommes éternels, elle appartient à ceux dont la volonté est immortelle. »


Informations



Prénoms : Daenera
Nom : /
Age : 19 ans
Clan : Shil
Groupe : Esclaves
Métier : Serveuse dans une auberge / taverne
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Situation familiale : Pas de parents ni de frangins à l'horizon, pas de compagnon non plus.
Familier : Une petite fouine, nommée Liv.


Pseudo : Nox / Effy
Comment avez vous connu le forum ? En fouillant les top sites
Avez vous signé le règlement ? J'y cours
Un dernier mot ? Z'êtes du genre accueillant, ça fait plaisir c:



Physique

Mon apparence n’est probablement pas la première chose qui importe à mes yeux. Disons que la survie et mon indépendance me paraissent quelque peu prioritaires. Pour autant, il semblerait que la génétique m’ait offert de quoi être assez satisfaite de mon reflet. Mes traits sont plutôt fins, ma peau est claire, voir assez pâle en hiver, malgré le rouge qui dévore mes joues et le bout de mon nez lorsqu’il fait trop froid. Mon visage est assez banal quand on y pense. Des sourcils finement dessinés surplombent une paire d’yeux en amende dont les iris seraient comparables à de l’ambre, le tout encadré par deux rangées de longs cils noirs. Vient ensuite mon nez, droit et fin, dont la pointe légèrement retroussée domine ma bouche naturellement rosée. Mes lèvres ne sont ni trop fines, ni trop épaisses, juste ce qu’il faut. Et bien que mes sourires sincères soit des plus rares, ils sont connus pour charmer ceux qui en sont témoins. Je ne porte que rarement de maquillage quel qu’il soit, n’ayant tout d’abord pas les moyens pour investir dans autant d’artifices et n’en voyant tout simplement pas l’intérêt.

S’il y a une chose à laquelle je porte un peu plus d’attention, ce sont mes cheveux. D’un noir de jais intense, ils atteignent le haut de mes cuisses du bout de leur pointe. Il n’est pas rare que je les relève en une queue de cheval ou un chignon pour éviter qu’il ne me dérange lorsque je travaille. Ils encadrent parfaitement mon minois et en font ressortir sa blancheur sans pour autant me donner un air fantomatique. En revanche je conserve une mèche de cheveux, assez longue qu’il n’est pas rare de me voir remettre derrière mon oreille ou balancer en arrière avec le reste de ma crinière lorsqu’elle est lâchée.

Côté silhouette, je m’en tire bien, là encore. J’ignore à quoi ressemblait ma mère ou les femmes des générations précédente dans ma famille, mais il n’est pas impossible que j’hérite de leurs atouts. Je mesure environ un mètre 70 et avoisine les 55 kilos. Je suis donc ni trop grande, ni trop petite. Mon corps est tout en finesse, ma taille est marquée, mes hanches ne sont pas trop larges et mes jambes sont plutôt longues. En revanche et bien que je m’en serais carrément passée, mes courbes sont assez généreuses. Disons que ma poitrine et mon postérieur attirent souvent le regard lubrique de certains clients sans manières.

J’ai donc l’habitude de porter des vêtements dans lesquels je me sens à l’aise, libre de mes mouvements et qui ne me collent pas trop à la peau. Pour autant il m’arrive de porter des fringues un peu plus moulantes lorsque je décide d’ignorer les coups d’œil et que je me fie uniquement à mes envies du moment. Si ça ne tenait qu’à moi, je porterais ce qui me chante tous les jours. Mais je me vois contrainte de porter des robes que je déteste pour la plupart, afin de satisfaire le patron. Apparemment, cela rapporte plus et donne davantage envie aux clients de commander.
Question bijoux, je n’en possède pas vraiment et si c’était le cas je doute que j’en porterais véritablement.

Facts :
-Dae’ est toujours suivie d’une fragrance de cerise, son parfum préféré. Il s’échappe à la fois de sa peau et de ses cheveux.
-Sa crinière est particulièrement douce, y plonger ses doigts donne l’impression de caresser une rivière de soie.
-Son corps est toujours chaud, c’est une véritable bouillotte.


Psychée

Je ne crois pas être trop difficile à vivre, j’ai un sale caractère, c’est un fait établi mais les gens n’en font pas les frais gratuitement pour autant. Mon désir d’indépendance n’est un secret pour personne, j’aime à croire qu’il suffit d’avoir la volonté d’acquérir sa liberté peu importe son prix, pour l’obtenir. Je suis du genre têtue, c’est une certitude. Inutile de chercher à m’ôter une idée de la tête lorsqu’elle y est profondément ancrée. Je suis assez confiante et téméraire, il en faut pas mal pour m’effrayer ou me laisser l’ignoble impression que tout est perdu. Je suis assez méfiante de nature mais j’ai foi en moi même et en mes capacités. Je suis prête à mettre ma vie en jeu pour ce en quoi je crois et ce que je défends.

Je ne suis pas toujours obéissante, car j’aime penser et agir par moi même. Mais je n’en reste pas moins suffisamment intelligente pour peser le pour et le contre et savoir qu’il est parfois bon de courber l’échine si je veux rester en vie. Ceci dit rien ne me force à le faire avec le sourire et je ne prive jamais de dire ce que je pense et d’exprimer mon mécontentement. Il m’arrive d’ailleurs d’être assez vulgaire, lorsque mes nerfs sont un peu trop mis à l’épreuve. Mon impulsivité naturelle me force régulièrement à sortir de mes gonds et à envoyer les gens se faire foutre. J’ai toujours eu le sang chaud et je doute que le temps y change quelque chose. Le sarcasme, l’ironie est la moquerie sont des armes verbales que j’utilise sans limites, peu m’importe qu’il en résulte davantage d’agacement. Finalement, la provocation dont je fais preuve est indissociable de ma personne.

Malgré mon fort tempérament, je ne suis pas qu’une boule de nerfs, prête à exploser à chaque instant. J’aime user de l’art de la ruse et de la manipulation pour tromper mon monde. Je ne suis pas mauvaise comédienne, en plus. Et excellente menteuse. Il est dur de démêler le vrai du faux lorsque mes mots ordinairement cinglants se parent de velours pour me jouer d’autrui. Ce côté joueur chez moi me permet de me divertir, lorsque les journées sont trop longues ou lorsque je tiens à obtenir quelque chose en particulier. Je suis loin d’être capricieuse en revanche et si je n’obtiens pas ce que je désirais, je n’en viens pas à bouder pour autant. Il y a plus d’une manière d’arriver à ses fins. La séduction est l’une des armes que tout Homme se doit de manier. Et user de mes charmes est une solution à laquelle j’adhère. Je n’en fais pas profiter n’importe qui pour autant.

Il est assez difficile de savoir ce qui me trotte dans la tête, de manière générale, je ne m’étends jamais sur ce qui me préoccupe et me contente de garder mes pensées pour moi même. Je ne suis pas très empathique et j’ai tendance à écouter les autres d’une oreille distraite. Mais il arrive parfois que je prête vraiment attention à ceux qui en expriment le besoin, si je suis d’humeur pour ça. Je ne suis pas non plus très friande d’affection en tout genre, j’aime qu’on reste loin de moi et qu’on ne tente pas de poser sa main, quelque soit l’endroit, sur mon corps. Je ne suis pas une blanche colombe, vierge de toute expérience, je connais le désir, l’envie et le besoin parfois même de chaleur humaine ou non humaine. Je mentirais en disant que je n’éprouve pas d’attirance pour les buveurs de sang que je ne porte pas dans mon cœur. Mais j’ai bien du mal de l’avouer à voix haute, ça a tendance à me contrarier. Éprouver de l'affection, des sentiments pour homme n'est pas dans mes plans. Je me le refuse d'ailleurs et le nierais purement et simplement. Je doute trop de leur sincérité et de leur capacité à être fidèle. Il s'agit pourtant de notions très importantes à mes yeux. La trahison est quelque chose que je n'oublie et ne pardonne pas, en plus d'être particulièrement rancunière, je suis capable de faire preuve d'une ignorance plus sévère encore que mes reproches hargneux.

Mieux vaut d’ailleurs éviter de me pousser à bout, la violence n’est pas mon domaine de prédilection mais je refuse de me laisser faire quelle que soit les circonstances. Et je n’hésite pas à me montrer plus vindicative si j’atteins les limites de ma patience.
Pour m’apaiser il me suffit d’un peu silence, de solitude et de paix.
Une fois que l’on parvient à me cerner, il est moins compliqué d’avoir à faire à moi. Si tant est que votre désir n’est pas de me faire votre, d’une manière ou d’une autre.

Facts :
-Dae' aime prendre des bains avec beaucoup de mousse.
-Elle aime lire dans un coin tranquille où personne ne peut la trouver.
-Elle chantonne souvent lorsqu'elle est dans ses pensées (elle a d'ailleurs une très jolie voix)
-Elle tient mal l'alcool, vraiment très mal.


Pouvoir

/


Histoire

Mon histoire est tout ce qu’il y a de plus banale, aucun évènement véritablement tragique ne vient noircir le tableau. Je suis née de l’union d’un homme et d’une femme, jusque là, on s’y retrouve plutôt bien. Ma génitrice est morte en me donnant naissance, je n’ai aucun souvenir d’elle, pas de portrait, pas de bijoux qui lui auraient appartenu, rien de ce genre. J’ai en tête les descriptions qu’on m’en a fait, à savoir qu’elle était plutôt jolie et qu’elle avait les cheveux aussi longs et noirs que les miens. En revanche, en ce qui concerne mon paternel, j’ignore qui il peut être. Il n’était pas là à ma naissance et n’était pas là les années suivantes non plus. Je suis venue au monde dans une demeure qui grouillait de servantes. Un maître aux dents longues particulièrement exigeant qui traitait ces femmes comme des chiens.

J’ai grandi entourée de toutes ces femmes, gentilles pour la plupart, amères et renfermées pour les autres. Certaines avaient connu ma mère mais avec le temps et face au courroux du maître des lieux, elles s’étaient fait plus rares, disparaissant pour ne laisser que des doutes quant à leur soudaine absence. Du moins, à l’époque et dans mon cerveau d’enfant, j’assimilais leur départ à une bonne nouvelle. Probablement qu’elles avaient enfin eu la chance de passer les portes d’entrée pour emprunter une voie bien plus heureuse que celle qu’elles suivaient jusqu’à présent entre ces murs. J’ai rapidement compris avec les années qu’elles ne s’envolaient pas pour changer de vie et améliorer leur quotidien mais qu’elles quittaient plutôt ce monde pour rejoindre les rang des morts. Les véritables défunts, pas ces cadavres ambulants assoiffés de sang. Ces derniers ne m’ont jamais inspiré ni la crainte ni l’admiration, plutôt une colère sourde et dormante et une sorte de mépris silencieux que je cultivais à l’intérieur de moi. De manière générale, le principe même que des Hommes règnent sur d’autres à tendance à me répugner, alors.. dans le contexte actuel, il m’est difficile d’éprouver de la sympathie pour les suceurs de sang.

Plus je grandissais, plus l’on me confiait de tâches. Je devais nettoyer, cuisiner, repriser des fringues et l’envie de quitter les lieux me tourmentait chaque jour un peu plus. La vie aurait pu être bien pire et j’en avais conscience. Elle aurait également pu être meilleure mais je ne me plaignais jamais de ce que j’avais. Pour la simple et bonne raison qu’il me suffisait d’attendre. Parce que je restais persuadée qu’un jour, je saurais faire ce qu’il fallait pour obtenir ce que je désirais. A savoir, la liberté, l’indépendance. Désirer ardemment ne suffisait pas, il fallait se donner les moyens d’y parvenir. Et j’avais mis 15 ans à attendre la moindre occasion pour décamper. Et un jour, le maître quitta les lieux, il devait revenir sous cinq jours, il avait à faire à Carmin et je voyais en ce voyage le moment idéal pour se faire la malle. J’avais tenté de convaincre les autres servantes de fuir avec moi mais aucune d’entre elles n’avaient voulu me suivre. Elles étaient trop entravées par la peur, celle de se voir retrouvées et punies. Pour ma part, il était temps de partir. Et c’est ce que je fis, fourrant quelques affaires dans un sac avant de passer la porte d’entrée sans me retourner. Peu importait qu’il me cherche jusqu’au bout du monde, je doutais d’ailleurs qu’il le fasse. Les humains ne méritaient pas tant d’importance à ses yeux, je le savais. Il ne ferait pas tant d’effort pour courir après une simple mortelle et la forcer à revenir. Je me sentais confiante.

Je mis un peu plus de dix jours pour gagner Carmin depuis Longvoile. J’avais soigneusement évité la route principale et j’étais exténuée en arrivant à la capitale. Sur la route, j’avais rencontré une petite fouine, elle m’avait volé quelques biscuits dans mon sac, me privant un peu plus de nourriture pour le reste du trajet. Et elle s’était finalement glissée dans mes affaires pour s’y faire une petite place, afin de m’accompagner jusqu’à ma destination. Et elle ne m’a pas quitté une fois les portes de l’auberge passée. Je m’étais laissée tomber sur une chaise, à bout de souffle, les jambes refusant de me porter davantage. Et le tavernier était venu se planter devant moi en me demandant ce que je voulais avec méfiance. Le deal était simple. En échange d’une chambre et de repas quotidien, je travaillerais pour lui. J’étais apte à cuisiner, faire le ménage, la plonge ou le service. Peu m’importait. Il me fit commencer par la vaisselle et le nettoyage de la salle mais rapidement, il remarqua les coups d’œil que me jetait la gente masculine et il décida de me confier le service. Déambuler entre les tables, un plateau à la main, distribuer des chopes de bières, c’était tout ce qu’il y avait de plus simple à mes yeux. Et en échange, j’avais un toit et de quoi me nourrir. Mais mon maître précédent ne tarda pas à découvrir l'endroit où je m'étais réfugié et je serais toujours reconnaissante envers Devon d'avoir parié sur moi en investissant sur mon compte de manière tout à fait déraisonnable. Je lui appartenais sur le papier mais il était loin d'être l'un de ces maîtres que je pouvais redouter, qui viendrait à brider ma liberté.

Quatre ans s’écoulèrent durant lesquels je continuais de grandir aux côtés de Devon, le propriétaire de l’auberge et accessoirement l’un des rares vampires bienveillants que j’ai pu croiser. J’avais mûri mais j’avais également compris qu’il valait mieux remettre les hommes à leur place, dès qu’ils abusaient un peu trop de ma patience. Nombreux étaient ceux qui avaient tenté de négocier ma compagnie pour une nuit, à un prix alléchant pour le patron. Mais j’avais rapidement compris que si l’argent influençait ses décisions, il était très sensible à la manipulation. Et lui faire comprendre que s’il cédait aux demandes de ses clients me ferait quitter les lieux aussitôt et reverser mes nombreux pourboires à un autre établissement avait suffi à le faire revoir ses plans me concernant. En réalité, mes menaces n'avaient que peu d'effet sur lui, je l'avais compris au fil du temps. Il me protégeait à sa manière et ce, parce qu'en ces quelques années, un lien s'était établi entre nous. Il veillait sur moi et je me contentais d'être présente à ses côtés. Il m'épargnait les tâches ingrates qui me livreraient en pâture à ses clients irrespectueux et je ne pouvais lui être que reconnaissante pour ça.
Malgré tout, j’avais également pris l’habitude de punir les clients à ma manière, en juste retour des choses face à leur instance. C’était Liv qui m’en avait donné l’idée, à force de la voir se faufiler un peu partout pour chopper de quoi grignoter ou simplement récupérer des objets qui lui plaisaient. Je piquais un bijou par ci, un peu d’argent par là et je cachais le tout dans un tiroir de ma chambre. Un butin soigneusement dissimulé qui me permettait de me faire plaisir de temps à autre lorsque, durant ma journée de congé, je fonçais dans les rues commerçantes.

Mon quotidien est donc rythmé par le bruit des chopes qui s’entrechoquent, des rires un peu alcoolisés et des commentaires déplacés que je prends soin d’ignorer. Et je compte bien conserver cette liberté et cette indépendance qui m’est si chère et que m’octroie Devon. J'ai conscience d'être particulièrement chanceuse, de jouir d'une liberté probablement éphémère et je sais qu'à terme, tout peut être amené à changer. Dans un monde comme le nôtre, la liberté n'est qu'illusion, je place mes espoirs en ma propre personne, et j'espère qu'un jour il me sera possible d'être maître de moi même. Rien ne garantit que la cupidité de Devon ne le pousse pas à me vendre un jour ou l'autre et la désillusion serait alors particulièrement douloureuse.


Crédits Avatar


Code:
Final Fantasy VII - Tifa Lockhart → Daenara


Message par Invité Ven 22 Jan - 13:57
La Matriarche
La Matriarche
Messages : 1482
Date d'inscription : 13/07/2019

Félicitations ! Tu es désormais validée et tu viens de rejoindre le groupe des esclaves !

Bonne chance dans cette nouvelle vie !

Tu peux désormais aller poster une demande de rp ou une demande de maître et commencer à rp !

Si tu veux poster une fiche de lien ou un journal, n'hésite pas pour gagner des éclats !

Je t'invite aussi à nous rejoindre sur notre serveur discord/CB pour participer à la communauté !
Message par La Matriarche Sam 23 Jan - 2:25

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum